Après avoir compris que j'aimais "switcher" je me suis posé d'autre questions.
Vous n'êtes pas sans savoir que j'ai eu des soucis avec mon père lorsque j'étais enfant, je vois donc des psychologues depuis mes 4 ans pour me confier. Je suis d'ailleurs dépressive depuis mes 9 ans.
Enfinnnn bref !
Un jour, lors d'un rendez-vous tout à fait banal avec mon ancienne psychologue que l'on nommera madame Lock, je me suis mise à lui confier des choses sur ma vie sexuel, mes envies incessantes et mes pensées qui divaguent en permanence même quand il ne le faut pas. Et tout à coup, je me suis rendu compte, que j'avais une addiction.
Je venais de me rendre compte que j'étais hypersexuel.Elle a confirmé mes doutes en affirmant que je l'étais.
Et depuis j'essai de vivre avec. Mais je dois vous confier quelques choses... C'est compliqué, de parler à quelqu'un quand on pense à autre chose, c'est compliqué de se concentrer sur quelque chose quand notre esprit est ailleurs, c'est compliqué de ne pas hurler de frustration quand on a pas de partenaire sexuel, c'est compliqué d'avoir à dire à son nouveau copain que l'on risque de lui sauter dessus 12 fois (oui 12 !!) par jours s'il ne nous arrête pas.
Cette addiction est beaucoup plus dur que l'on ne le croit et j'aimerais que les gens l'a prenne au sérieux car même si ça intéresse beaucoup de pervers ça en repousse beaucoup qui croient que je ne suis là que pour le sexe ou que je suis une "pute" qui donne son corps à n'importe qui, ce qui... Avouons le.. est un peu cas haha
En plus de ça, je souffre d'anorgasmie, ce qui signifie que je suis incapable d'avoir un orgasme en solo ou à 2, je vous rassure, avec le temps ça guérira sûrement mais pour l'instant ça ne fait qu'aggraver mon envie incessante puisque c'est encore plus frustrant
Alala qu'elle vie..
Votre aspinatrice <3
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Là où tout à commencé
Não FicçãoJe vous raconte comment, moi, une jeune fille autiste, ai commencé à devenir dominatrice et bien d'autres choses encore..