- Chapitre 6 -

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Pdv Marco :

J'ouvre les yeux lentement, la lumière m'aveuglant. Je met quelques secondes à me rappeler comment je me suis trouvé dans ce lit qui n'est pas le mien.

MOI, MARCO, J'AI COUCHER AVEC LES DEUX HOMMES LES PLUS BEAUX QUE JE CONNAISSE !?!???

Je n'en reviens toujours pas, j'ai l'impression que tout cela n'était qu'un rêve et pourtant la forte douleur que je ressent au niveau de mes fesses et du bas de mon dos me confirme que c'est bien réel. Mes maîtres ne sont pas ici, je me retrouve seul et nu. Ils n'ont pas été tendre avec moi mais au fond ça ma beaucoup plu. Ne voulant pas rester éternellement assis, je décide de sortir du lit et chercher de quoi m'habiller. Cependant quand je me met debout, mes jambes me lâchent. La douleur m'empêche de bouger, j'essaye de me relever en vain. Je me résigne et décide d'observer la pièce plus en détails lorsque le bruit d'une porte qui s'ouvre se fait entendre. Je tourne ma tête et voit mes deux maîtres entrer par la porte et venir jusqu'à moi.

- Désolé de vous déranger mais est-ce que vous pouvez m'aider s'il vous plait, maîtres ? Je ne peux pas bouger, j'ai trop mal.

- Ce n'est pas grave. Déclare gentiment Théo. Tu dois avoir mal au rein comme c'est la première fois que tu te fait prendre par derrière, mais ça fera moins mal une fois que ton corps sera habitué.

Je hoche la tête pour leur faire signe que j'ai compris, Théo me relève et me porte jusqu'au lit où il me pose et Gabriel m'aide à mettre mes vêtement.

- Alors petit chien, comment c'était ? Me demande Gabriel un immense sourire pervers sur les lèvres.

- C'était... fantastique... Marmonnais-je gêné.

- Qu'est-ce que tu est honnête petit chien, j'aime ça ~ Déclara Théo avant de venir me mordiller la peau au niveau de mes clavicule.

Lorsque Théo se recule, il regarde la marque violacé qu'il vient de me faire un sourire satisfait trône sur ses lèvres alors qu'il me prend et me porte comme une princesse. Gabriel nous ouvre la porte et nous descendons jusqu'au salon où Théo m'allonge sur le canapé.

- Tu as faim petit chien ? Me demande gentiment Gabriel.

- Oui, un peu. Est-ce que je pourrais avoir un verre d'eau ainsi que quelque chose à grignoter s'il vous plaît maîtres ?

- Bien sur, on reviens tout de suite. Disent-ils en cœur avant de tout deux m'embrasser sur le front et partir en direction de la cuisine.

Je me retrouve seul, j'en profite pour mettre de l'ordre dans mes pensées et je réalise soudain que les cours doivent déjà avoir commencé. Pris de panique, je me relève d'un coup, et un couinement de douleur traverse mes lèvres alors que je me rallonge à contrecœur. Gabriel arrive quelques seconde plus tard une lueur d'inquiétude dans les yeux rapidement balayé lorsque qu'il me voit.

- Comment tu vas petit chien ? Me demande-t-il un semblant d'inquiétude est perceptible dans sa voix.

- Je vais bien maître, j'ai juste essayer de me relever trop brusquement c'est tout.

- Je vois, tout va bien alors.

- Oui, mais maître les cours doivent déjà avoir commencé, non?

- Ne t'inquiète pas pour ça, Théo et moi avons déjà prévenu le lycée de notre absence à tout les trois.

- Mais maître, je ne peux pas continuer à manquer les cours ainsi.

Ma vie de pauvreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant