Chapitre 13

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On se réveilla vers 9h.

Steve: bonjour...*bisous*

-bonjour. Tu sais je réfléchissais à la mission. Je ne veux plus les mettre en danger, moins de choses ils savent, mieux ils se portent

Steve: je suis d'accord, il faut qu'on leur disent de rentrer. Allez on se prépares et on vas leur dire.

On se prépara et allâmes au salon. Ils étaient tous réunis au salon. Ça tombe bien.

-il faut qu'on vous parles...

Steve: il faut qu'on travail seule en tous cas pour l'instant c'est trop dangereux.

Clint: vous êtes sûrs?

-oui, je ne veux pas mêler davantage de gens dans cette histoire.

Wanda: très bien mais faites attention.

Elle me fit un câlin.

Clint: appelez si vous avez besoin de nous et on rapplique ok?

Steve: ok! merci pour tout Sam.

Sam: prenaient soin de vous.

Bucky: à plus mon pote.

Steve et moi embrassons tout le monde et sortons de chez Sam. On marcha jusqu'à trouver un parking. On se faufila entre les voitures. Steve en trouva une et brisa la vitre avec son coude. Il ouvrit la porte, monta et m'ouvrît la porte passagère. Je monta à mon tour. Steve frotta les files du moteur et démarra la voiture. On commença à rouler, on étaient maintenant sur l'autoroute. Mes pieds sont posés sur le tableau de bord. Je regarde par la fenêtre avant de tourner ma tête vers Steve.

-où il à appris à voler des voitures le héros national?

Steve: à la guerre en Allemagne. On l'a emprunter. Enlève tes pieds du tableau de bord.

Je posa mes pieds au sol.

-si agressif, c'est sexy...

Steve: *rire*

-je peux te poser une question? T'est pas obligé de répondre. Mais si tu répond pas, ça sera une forme de réponse, si tu vois ce que je veux dire...

Steve: vas-y

-depuis 1945, c'était ta première fois?

Steve: je fais si mal l'amour? *sourire*

-j'ai pas dit ça...

Steve: tu l'as dit autrement mais c'est ce que tu penses.

-non arrête, je me demandais si t'avais eu beaucoup de pratique voilà...

Steve: c'est pas une question de pratique.

-mais si c'est important!

Steve: c'est pas ma première fois depuis 1945. J'ai 95 ans mais je bouge encore.

-c'était qui?

Steve: crois moi, mon cœur t'as pas envie de savoir.

-mon cœur?

Steve: quoi ça te plaît pas *sourire*

-non ça me plaît, mon lapin *sourire*

Steve: je t'interdis de m'appeler comme ça!*rire*

-alors c'était qui?

*Silence*

-dis moi!!

Steve: Sharon

Je sentis la colère montée en moi.

Steve: tu vois je savais que ça allait t'énerver.

Mais yeux changèrent de couleur.

Steve: regarde moi...

Je le regarda et me calma.

Steve: si ça peut te rassurer, tu fais bien mieux l'amour qu'elle.

-ça me rassure tiens!

Il me sourit et posa sa main sur ma cuisse.

-tu vois quand tu veux, il suffit de broder un peu. Tu aurais pu rencontrer quelqu'un avant moi tu sais, si tu avais voulus. Je connais un tas de fille comme Kristen du service statistique qui auraient adorais sortir avec toi. Je suis sur que si tu lui avais demander elle aurait dis oui.

Steve: c'est bien pour ça que je lui demandais pas *rire*

-trop timide ou trop lâche?

Steve: trop occupé...et puis c'est difficile de rencontrer quelqu'un quand comme moi on a une certaine expérience *sourire*

-ça va les chevilles? *rire*

Steve: *rire* et toi alors?

-si je suis honnête. Tu étais mon premier...

Steve me regarda

-ne me regarde pas j'ai assez honte comme ça

Steve: n'est pas honte, c'est mignon. T'est amis le savent que tu était vierge?

-la vérité ça se bricole. On raconte pas toujours la même chose à tout le monde. Je suis comme ça.

Steve: c'est une drôle de façon de vivre.

-j'ai toujours vécu un peu toute seule dans mon coin. A force la solitude sa forge le caractère. On se construit une carapace dont on a du mal à se défaire. Aujourd'hui je m'en rend compte. Avec cette pierre, mon mur c'est renforcer et j'ai encore plus de mal à faire confiance aux gens. C'est une façon de pas mourir quelque part.

Steve: c'est difficile d'accorder sa confiance aux gens quand on ne sait pas qui ils sont.

-ouai...qui tu voudrais que je sois?

Steve: pourquoi pas ma petite-amie?

-*sourire* plus ça va, plus je me dis que tu t'est tromper de métier Rogers. Tu es un grand romantique en fin de compte. Ça fait pas très super-héros *rire*

Steve: *rire*

-mais ça me va. Je suis Mme Rogers maintenant.

Steve: oui, Mme Rogers ça me plaît bien.

On continua la route et on arriva devant une maison.

The last loveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant