Bleu amoureux | Imagine JungKook

Bleu Céleste

-PDV JEONGGUK- 

J'étais assis dans cette chambre depuis des jours peut êtres des semaines je n'en avais aucune idée. Tout ce que je savais c'est que mon frère était un étage plus haut. Dans la haute sécurité. Après une grosse crise de sa part j'avais dut intervenir et l'improbable c'était produit. Il m'avait crée une marque de lui même. Il avait apposé sa marque pour forcée sa colère à se diluer. Et c'était encore une nouveauté chez nous. 

Mon frère était le bleu amoureux le plus puissant que je connaissais et apparement c'était le cas de toute la Corée. Puisque nous étions étudiez comme des bêtes.

Sauf que contrairement à moi lui, savait s'échapper de l'hôpital, il avait le don le plus puissant et le plus fort de notre société s'était pour ça qu'il voulait le garder sous contrôle. Ce qui pour l'instant n'était qu'un échec tout était sous son bon vouloir et ses envies. Mais cela les médecins et chercheurs refusés de le comprendre.

Il pouvait influencés les émotions d'une telle manière qu'il pouvait finir par totalement contrôler la personne et en faire sa petite marionnette. Ce qui lui avait valut le surnom du "Magicien des émotions".

Et moi qu'est ce que je faisais là et bien, ce n'était pas une seule marque qu'il avait fait apparaitre mais deux. Mais elles n'avaient rien avoir l'une avec l'autre. C'était comme si l'une était liée à mon frère mais pas l'autre.

Celle que mon frère avait fait apparaitre était une fleur sur ma cheville bleu qui n'y ne bougeait, ni ne changeait de couleur. Je ne savais même pas ce que cette marque pouvait me faire, faire.

C'est alors que totalement perdu dans mes pensées, accroupis dans un coin dans la pièce sentant mes yeux se remplir de larmes sans aucune raison. Je ressentis une émotion si violente d'inquiétude que je ne put retenir le torrent de larmes qui glissés de mes joues. Ma respiration était haletante, mes larmes douloureuses. C'est alors que je vis la porte s'ouvrir avec fracas.

(Y/N), ouvrir la porte totalement paniquée, je me levais et sans même avoir le temps d'ouvrir la bouche. Elle se jeta dans mes bras.