My Military Letters - Tome 1 ( FV) [ ENDING ]

Chapitre 12 - Amoureuse ...

Papa aimait beaucoup Andy et cela était réciproque. Il avait approuvé notre relation et pour Andy cela était important que ce soit fait.

Andy avait tenu à ce que je le suive partout, même pour aller rencontrer ses parents et Amanda ... Je ne lui refusais rien et je le faisais parce que j'en avais envie.

Papa n'avait plus peur de me laisser seule trop longtemps à la maison, parce qu'Andy était là et parce qu'il avait confiance en lui. Il disait même à la blague qu'il allait lui faire payer pension comme il était toujours à la maison. Cela le fit bien rigoler. Mais Andy aidait déjà beaucoup dans la maison et papa lui en était reconnaissant ...

Quand j'allais à l'école, Andy en profitait pour voir ses parents et amis, mais il était fidel au poste à m'attendre à la sortie de l'école et j'appréhendais chaque après-midi ce moment.

-Oh quel surprise ! Regarde qui t'attends à l'entrée ! me fit Amanda avec son plus beau sourire.

Je leva les yeux et sourit en courant vers lui alors qu'Andy était appuyé sur sa voiture et ouvrit les bras en me voyant arrivé en courant. Cela le faisait rire à chaque fois.

Arrivée à sa hauteur il me serra fort de ses bras puissants et m'embrassa. Amanda arriva tout sourire au bras de son copain.

-Il y a des chambres pour cela ! fit-elle à la blague.

-Chère cousine de mon coeur, se qui se passe dans une chambre tu ne le seras jamais ! fit Andy en lui tirant la langue.

-Encore heureusement, je ne veux pas savoir si mon cousin se tape ma meilleure amie.

-Que tu peux être vulgaire !!fis-je en rigolant.

-Tu ne savais pas encore cela Mandy depuis le temps ? me fit Carl le copain d'Amanda.

-Je suis outré et exaspérée ! fis-je dans un rire.

Mes rires fut vite rejoins par ceux des trois autres. Andy resserra son étreinte autour de moi alors que j'avais le dos contre son torse face à mes deux amis.

-Si je comprends bien, tu me la voles encore se soir ? fit Amanda.

-Tu vas t'en pleindre peut-être ? fit Andy en tirant la langue.

-Pas moi en tout cas ! fis-je avec un petit rire.

-Han ! Espèce de vilaine !

Nous éclatâmes de rire. Nous finîmes par nous dire au revoir et partîmes chacun de notre côté.