La Belle (Ayato Kirishima)

Chapitre 3

Plusieurs jours passaient, et les deux jeunes gens avaient appris à s'apprécier, maintenant, c'était un plaisir pour Ayato de se retrouver tous les jours dans cette chambre d'hôpital avec l'infirmière de son cœur. Il avait appris rire, à avoir confiance. En faite, il était heureux avec elle. Mais la ghoule avec aussi peur, peur de la perdre, il voulait plus, il voulait l'avoir rien que pour lui, le faite de penser que la jeune femme s'occupait d'autres jeunes hommes , le rendait furieux. Elle était si belle, elle devait avait avoir un tas d'homme à ses pieds. D'hommes bien plus beaux que lui, plus romantiques, plus riches. Le garçon se rendis compte que il était un grain de sable dans la vie de sa belle infirmière. Si ça se trouve, elle était déjà marié, voire pire ! Peut être avait-elle des enfants ?

Il ne connaissait même pas son nom. Il ne savait rien d'elle, si la jeune s'occupait de lui, c'était uniquement parce qu'elle était obligé. Alors que pour lui c'était différent, il désirait la voire dans une autre tenus que cette blouse d'infirmière. Il désirait passer du bon temps avec elle, aller à l'Antique prendre un café, aller au cinéma, ou même simplement se balader main dans la main dans les rues de Tokyo. Il la protégerais, il l'aimerais, il la chérirais jusqu'à la mort.

Le jeune garçon était tomber amoureux.

Une voix le fis sortir de ses penser, voix qui reconnaîtrais entre mille .

_Est que ça va ? Vous avez l'aire perdu dans vos penser 

_O-oui oui ne vous inquiétez pas, j'y pense, quelle est votre prénom ?

_ Oh euh et bien si vous tenez à le savoir, je m'appelle Coco

_ Coco ?

_ Oui, il est est vrai que c'est assez spécial comme nom et-

_J'adore

_Pardon ?

_J'adore ce nom

_M-merci... 

Le lendemain...

Comme tous les matins, Ayato attendait avec impatience l'infirmière de son cœur, mais elle ne vins pas. Une, deux, cinq heures passa, mais aucun signe de la jeune femme. Au bout d'un moment, un médecin arriva, il lui pris la température, lui fit un tas de test. Le vieil homme se leva et dis 

_Mr, il semblerais que vous soyez guéris, vous devez à présent, quitter ces lieux.

La ghoul répondis simplement d'un hochement de tête, et partis. Il rentras tristement chez lui. Alors, ce qui redoutait le plus était arrivé. Il l'avait perdu à jamais. C'était fini. Il savait que cela devait ce produire. Il allait reprendre sa vie d'avant, à Aogiri. Une vie de criminel

Plusieurs  semaines s'écoulèrent, il n'arrivait pas à l'oublier. Elle. Celle qui lui donnait cette envie de se lever chaque matin, celle qui avait réussi à faire apparaître, le vrai Ayato, comme avant, avant qu'il est intégré Aogiri, avant qu'il soit devenu un monstre. Pour la première fois, il s'était sentis heureux, non, il était heureux. Elle était comme une drogue pour lui. Son sourire,  son rire, tous lui manquait. Il avait besoin de la voire, il devait, au moins une seconde... Chaque nuit, il cauchemardait. Il rêvait d'elle, blesser, son sourire, sa joie, tous s'effaçait. Il savait qu'elle souffrait. Il pouvait le ressentir. Et ça le rendait fou. Savoir que Sa Belle souffrait,  était une véritable torture, il voulait la consoler, écouter, ressentir cette peur qu'elle endurait jour et nuit. Comme elle l'avait fait pour lui, il voulait la soigner.

Un jour, alors qu'il se baladait dans le 9e, il entendu des cris. Des objets se briser. La ghoul au cheveux de nuit écouta. Son regard se posa alors sur une petite maison, c'est de là que venait le bruit. Il s'approcha de la vitre pour apercevoir la source de ce bruit.  Ce qu'il vu à ce moment précis, le traumatisera à vie. Comment, comment une  chose aussi horrible pouvait arriver, comment il avait pu être aveugle à ce point ! Là, devant ces yeux ce passait la pire chose inimaginable qui puisse se produire. 

Un homme se tenait debout, le point lever, point qui une seconde plus tard s'abattue sur la pauvre femme, qui elle se trouvait allonger sur le sol, affaiblit, tremblante. Cette femme qui ce trouvait être la jeune infirmière. 

Ayato fut pris d'une immense rage, on aurait dit qu'un violent orage venait de s'abattre sur lui. Quand l'homme sortit de maison, Le jeune homme se cacha derrière un buisson. Il voulait l'attraper, lui arracher le cœur. Mais il se rappela de la brune, de son sourire. Et de nouveau, Ayato fit appelle à sa conscience qui lui disait de ne pas se laisser submerger par la rage, mais de se tourner vers sa dulcinée. C'est ce que la ghoul fit. Il entras dans la maison pour trouver  la jeune femme qui chérie tant, toujours allongée au sol, pleurant silencieusement, comme pour ne pas déranger. Il courut alors vers elle et la pris dans ses bras. La brune sursauta, elle regarda le jeune et pleura de plus belle. Elle s'accrocha à lui, comme si c'était la dernière fois qu'elle le verrais. 

_ A-Ayato q-que fais tu ici ? Demanda-t-elle entre deux sanglots 

_Shut 

_M-

_Depuis combien de temps ça dure ?

_3 ans

Il la serra fort contre lui

_A-Ayato t-tu m'écrase 

_Pourquoi ? Pourquoi tu ne m'en a pas parler ? Dit-il calmement pour ne pas l'effrayer

_Je pensait que t'en ficherait...

Le jeune homme la regarda dans les yeux, si ses yeux pouvait lancer des éclaires, la brune serait déjà carbonisé.

_ Ecoute-moi bien, jamais, je dit bien jamais, je te laisserais

_Ayato... J-je suis désolé

_Non c'est à moi de m'excuser. 

Il la regarda intensément, ses yeux brillaient, son regard se posa sur ses lèvres. Ces lèvres sur les quelles il avait fantasmé de nombreuses fois. Il eu une envie si forte de l'embrasser, il ne pue se retenir plus longtemps, et écrasa ses lèvres contre les siennes. Les deux deux amants échangèrent un baisé passionné. Leurs lèvres se mouvaient avec harmonie. Les deux amants de séparèrent par manque de souffle.

_Viens avec moi, s'il-te-plait...

_ Je t'aime Ayato

Pour seul réponse, le jeune homme se plongea une seconde fois sur les douces lèvres de son amante. 

VOILAAAAAAAAAAA chapitre fini, c'est  la fin de cette ff ...

Oe elle est courte. 

Mais bon voilà quoi c la vie

Ce chapitre était particulièrement triste je sais, surtout que moi je l'ai écrite avec des musiques triste... 

Après si vous voulez vous remonter le moral, vous pouvez tj jeter un coup d'œil sur mon livre "La grande connerie" 

n'hésiter pas à vous à laisser des commentaires (gentils), ça me fais tj plaisir.

Les critiques constructives sont tj les bienvenus. 

Je ferais sans doute d'autres petits chapitres (au moins un épilogue) je trouve l'inspiration. Mais niveau histoire, c'est la fin les amis !