Dans un coquillage creux, j'ai crié ton nom. J'ai entendu le son de la mer me répondre, comme pour me signaler ton absence. Tu n'étais pas caché dedans. J'ai gardé le coquillage avec moi, comme si tu l'accompagnais. J'ai fui l'océan, la mer pour me cacher dans une ville. Froide et lugubre, cette dernière m'a engloutie. Je me suis retrouvée perdue, sans toi et sans repères. La ville est bien moins agréable que tes bras, doux et rassurants. J'ai demandé au coquillage où était ta cachette, et il m'a répondu.
VOUS LISEZ
Mermay
Poetrydes petits textes faits pour le mermay. Il n'y en aura sans doute pas beaucoup.