3-Petite viré

11 2 0
                                    

Chapitre 3 ( Bonne lecture  ! )^^

PDV : Kaul

Je pars rejoindre la directrice devant le poste comme elle me l'a demander. Je prépare mes affaires dans un sac et monte dans l'ascenseur pour rejoindre le parking.
Une fois dans ma voiture je démarre direction le poste.

Je l'admets j'ai fauté, même plusieurs fois à-vrai-dire.
J'ai couché avec plusieurs des femmes du poste certes, mais c'est ma vie (et ma queue au passage) non?
Si, Alors pourquoi la patronne se mêle de mes affaires?
Je ne vais pas mentir elle est sacrément canon. Tout se qui qui faut où il faut. Mais son caractère gâche tout.

Elle est dominante et moi aussi ; on ne s'entendraient pas au lit . Et en aucun cas je pense l'intéressé de cette manière.

Puis je suis venu dans cette ville et dans ce poste que pour un seul but et je ne compte pas tout gâcher pour une fille.

Mon géniteur a commis un crimes que personne ne pourra pardonner et je compte bien l'arrêté.
Et me faire viré n'est pas dans mes projets futur. Donc pour l'instant : (à lui même^^) gentille petit louveteau Kaul, et retiens tes chaleurs de chien mal sucé.

J'arrive devant le poste à 16h45 pour être sur de ne pas arriver en retard, recevoir les foudres de ma boss est devenu comme un passe temps j'ai l'impression.

J'entre dans le hall pour m'assurer qu'elle est arrivée ou pas et, surpris je remarque qu'elle n'y est pas.
Je décide donc je l'attendre confortablement dans ma voiture.

Mon sac d'affaires pour se week-end est prêt, il y a absolument tout se qu'il me faut au cas où j'en croiserais.
Rien ne dois être laisser au hasard. Pieu en argent, aconite tue loup et veines de venus sont les bases de mon équipement.

Dix sept heures est passer et toujours pas de Madame Marshall, agacé je me demande pourquoi elle est en retard alors qu'elle m'avait formellement exigé que je sois à l'heure, en metant en jeu mon boulot.

17h30, A peine ai-je le temps de prendre mon téléphone de travail pour l'appeler et lui demander des explications, que je la vois au loin sortir d'une magnifique berline noir, vitre teinté, je n'arrive pas à décerné le conducteur par la nuit qui tombe vu  l'hiver qui approche accompagnée du froid qui brouille la ville.
Elle avance vers le poste et c'est quand elle passe sous un lampadaire que je remarque : ces cheveux en pagaille, sa chemise froissé, ces joues rougies et ses lèvres gonflées.

Ahahaha je vois que vous vous êtes bien amusez le temps que je poiroter.

J'en reviens pas, la directrice serait moins compliquée que je ne le pensais.
Après je la comprends, avec notre travail avoir une relation sérieuse n'est pas facile, mais il nous reste quand même les plans cul!

Elle rentre alors dans le bâtiment et je me retrouve à l'attendre et à rêvasser de parties de jambes en l'air.

Je suis couper court à mes divagasitions quand je la vois sortir du poste, changé pour la mission avec ses affaires.

Mon souffle est couper quand je la vois, tout se déroule au ralenti.
Ces boucles au vent, sa démarche de guerrière accentuer avec son pantalons en cuire et ces bottes à talon.

Vêtu comme sa seulement de cuire et de noir, j'ai vraiment envie de la prendre sur la banquette arrière et de lui faire crier mon nom, j'en ai le pantalon serré.
Et savoir qu'un homme la toucher il y a à peine 15 minutes me fout en rogne.
Ressentir sa pour cette femme me terrifie, je ne la connais pas, je ne sais pas qui elle est...mais j'ai de plus en plus envie d'en apprendre.

Je descend alors de la voiture et avance vers elle tout sourire.

- Alors M'dame qu'elle est notre destination ?

Tout ce que nous sommes .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant