Chapitre 23: Hermione et Drago

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-Je...je...balbutiai Drago.

Avant qu'il ne puisse s'expliquer, Hermione lui rendit son baiser qui fut le plus intense et passionné qui soit. Après cet échange, ils se regardèrent dans les yeux, longtemps, très longtemps. Hermione se détacha du regard de Drago pour regarder ses chaussures.

-Drago, je suis... commença t-elle, je voulais te dire que je...

-Attends, dit-il, moi aussi je voulais te dire quelque chose. Je sais que j'ai toujours été exécrable avec toi et, je m'en excuse. Ça doit faire vraiment bizarre sortant de ma bouche mais, depuis le combat contre Voldemort, je t'ai trouvé si courageuse... Depuis ce jour la, tu n'es jamais sorti de ma tête.

Hermione se sentit rougir à ces paroles.

-Je t'admire Hermione, si tu savais... reprit-il, j'ai développé quelque chose que je n'avais jamais eu avant. Je me sens mieux avec toi, j'ai l'impression que personne ne pourrait jamais ressentir ça tellement la sensation est forte. Je crois que je...

-Je t'aime Drago, sortit-elle d'un coup.

Il l'a dévisagea, surpris puis, il afficha un sourire si niais comme on en avait jamais vu.

-Tu m'ôtes les mots de la bouche, dit-il.

Ils se reprirent dans les bras un long moment et Hermione reprit la parole.

-On fait quoi maintenant ?

-C'est-à-dire ?

-En premier, pour nous et en deuxième, il faudrait peut être y aller tu ne crois pas ? interrogea la Gryffondor.

-Tu n'as vraiment pas le sens des priorités toi, dit il en rigolant.

Il posa son menton sur la tête d'Hermione en regardant au loin puis reprit.

-Pour la première question, on ne dit rien pour l'instant, et, pour la deuxième, bonne idée.

Ils se prirent les mains pour rentrer, mais cette fois, ils n'étaient absolument pas gênés.

Arrivés, ils étaient tellement absorbés par leur amour, que les deux préfets en avait oublié tout ce qu'il venait de ce passer. Ce n'est que lorsque des dizaines d'autres élèves accoururent vers eux en leurs posant des tonnes de questions, qui s'en rappelèrent enfin. Heureusement, Mc Gonagall, venait de les convoquer pour parler de ce qui s'était passé chez les Parkinson et ne furent donc pas obliger de répondre à toutes ces questions.

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Don't break my heart...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant