Une Ame, sa plume & ses Maux

Un père, une mère et leurs soucis

De loin que je me souviennes, mes parents ont toujours été incroyables avec moi et ma soeur. Ils nous aimes.Ils avaient leurs façon de nous le montrer, au départ.Les "je t'aime" été rarement dit,  les câlins rares, mais je ressentais leurs Amour. 

Le soucis ? c'étais l'Amour qu'ils se portaient l'un et l'autre. 

Mon père est un homme beau, gentil, généreux, drôle, travailleur et qui garde énormément ses sentiments. Et du coup sa thérapie c'est l'alcool. Il est alcoolique depuis que je suis petite mais j'étais beaucoup trop innocente pour le voir, et puis il était rarement là, il été souvent en déplacement pour son travail. Puis j'ai grandis, ma réalité aussi et j'ai eu mal. Mais j'y reviendrais plus tard.

Ma mère est une femme forte, travailleuse, magnifique, généreuse et comme mon père elle parlais peu de ses sentiments. Le point positif elle n'as pas sombré dans la drogue ou autre. 

Le problème s'étais quand mon père buvait et qu'il s'en prenait à ma mère verbalement. Il disait des choses blessantes, que je ne supportais pas d'entendre. Nous avons jamais été en danger.Mais de voir sa mère se faire insulter de tous les noms et de voir son père remplie d'une colère sombre, mélangé à de la tristesse...C'étais comme un appel à l'aide à sa façon et quand on lui en parler le lendemain, c'étais comme si il ne s'étais rien passé. Ma mère faisait très peu de commentaires, car elle voulait voir sa famille heureuse. Elle ne penser pas à elle, mais à moi et ma soeur. Notre bonheur était le plus important. Tous comme mon père mais quand il est sous l'effet de l'alcool c'est plus du tout le même, rare sont les fois ou il a eu l'alcool avec un effet positif. 

C'est à l'adolescence que j'ai remarqué que ce qu'il se passer à la maison été différent, que ce n'étais pas normale. Quand je revenais au collège et que mes amis me racontaient leurs week-end ce n'étais pas du tout la même ambiance. A cette époque le collège c'était l'endroit ou je me sentais le mieux et ma chambre aussi. Je travaillais bien, j'avais ma bande de potes et c'est largement suffisant. Puis quand arrivais le week-end j'étais assez angoissée, je savais qu'il y aller avoir des disputes. Bien évidemment il y a eu des moments ou il y avait beaucoup de joie, on allais à la plage, on manger en famille...Malheureusement ils sont minimes par rapport à toutes la souffrance que je ressentais lors des engueulades. Mais aujourd'hui je suis reconnaissante d'avoir pu vivre des moments merveilleux avec ma soeur et mes parents. 

Cependant, j'ai commencé à perdre pied à mon arrivée au lycée, même vers la fin de ma troisième. Et là, tout à changé et cette fois mon père n'étais plus le seule à avoir sombrer...