Un samedi soir en Afrique, il était 18 heures,
Où nous avons respiré le bon air.
Le ciel était bleu et la terre était noire
Assis autour d'un feu de bois,Accompagnés d'un tam-tam de douce voix;
Nous faisions éloge des héros et dieux africains;
Ils sont morts mais ne sont pas défunts;
Car leurs mémoires est gravées en nos coeurs.Les anciens dansaient et chantaient torse nu,
Les dames et femmes habillées en tenue
De rafias, qui protégeaient leurs mamelles;
Très jolie, elles étaient très nobles et belles.Il eut un moment où tout était calme,
Juste la flamme du feu, le son du tam-tam,
Le son des pas de pieds qui s'eclataient dans un rythme
Cadencé, tout à coup ils entonnèrent l'hymne,En hommage des dieux et en mémoire de Lucie,
Pour leur faire part de leurs angoisses et soucis,
Confier en eux leurs patrie l'Afrique,
Qui jadis était vénérable et fantastique.Mais devenue source de maux et sans éthique;
A perdu ses valeurs et devenu maléfique.
Tels sont leurs pleurs et douleurs
Qui prennent de l'ampleur en leurs coeurs.Oh Rê ,oh Ptah votre continent a perdu sa lumière,
Dites à Maât et Toth l'Afrique a perdu sa justice.
Oh Osiris l'Afrique est devenue pays de vices.
Reviens Anubis ta patrie est en voie vert le cimetière.
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vita
Poesíaj'écris ce recueil premièrement parce qu je suis passionné de poésie deuxièmement partager mes émotions venant de l'ab Imo pectore à mes lecteurs. Qu'il me soit permis ici d'exprimer non seulement une certaine joie mais une joie certaine on produisa...