𝑴𝒆𝒓𝒄𝒓𝒆𝒅𝒊..

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Une mâtiné des plus ordinaire.. Le doute portait sa valise avec enthousiasme prêts de moi, me suivant partout.

À un moment je l'ai entendu discuter avec quelqu'un plus loin, et alors il m'a ramené la peur..

Il aurait tant pus s'abstenir..

J'ai discuté avec mon meilleur ami. Il m'a dit que je devais laisser du temps à cette personne. Alors j'ai accepté.

Je me suis plongé dans mon travail, alternant entre ces deux sentiments qui criaient sans mes oreilles, ecorchant mes timpants, les brisant toujours plus.

Que dire...

Je me suis fortement concentré sur ça, le travail. Je ne voulais pas avoir une seule seconde pour moi.

Au final, assise dans mon lit je lui ai demandé, de façon idiote, si il trouvait qu'un mur naissait entre nous.

Ah ça pour me répondre...il m'a répondu.

J'ai envie de rire, parce que c'est plus détruire ce qu'il a fait.
Je ne suis pas fière de cela, et c'est pour cette raison que je fait tout pour paraître fière devant lui.

Je savais qu'être faible face à lui nous détruirait ! Me..détruirait...

Il m'a répondu qu'il pensait à l'amour et que j'en était la cause, il m'a avoué que c'était de ma faute
Et pour cette raison je m'efface à nouveau, je fais de moin en moin ce que je faisais. Je modèle mon monde.

Lui et moi sommes à présent de beaux étrangers, ayant avancé l'un avec l'autre.
Se retrouvant à présent séparé par "L'amour", cet chose que j'ai toujours voulu détruire.

Ma famille est entré pendant que mes larmes coulaient, je n'ai rien contrôlé, ma chambre a été détruite. Mise sans dessus dessous. Je ne me souviens meme presque plus l'avoir fait..

Les larmes, les coups, les pleurent.. Tout se mélangeait dans ma tête, mon téléphone a volé et mes cours non pas bougé.

Les cours me sauveront. Il faut que je m'y plonge.

J'ai continué jusque très tard ma dissertation, finalement je n'avais même pas pu la rendre le lendemain...

Je ne contrôle plus mes sentiments..

1 semaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant