"On lit tous les jours des recettes pour être heureux: se dépasser, pardonner, avoir de la compassion, prendre soin de soi, prendre soin des autres.
Mais il y a un élément qu'on oublie souvent : c'est impossible d'être heureux si on garde des relations toxiques dans notre vie.
Vous savez, ces personnes qui nous jugent, nous regardent de haut, nous rabaissent, nous mentent, nous manipulent, nous séduisent pour mieux nous contrôler ensuite, ceux qui jouent avec nos sentiments ou qui abusent de notre bonté. Et il ne sert à rien d'essayer de les amener à comprendre, de tenter de les changer, nous allons nous épuiser!
En faisant le ménage dans nos relations, profitons-en pour nous rebâtir une estime de soi, parce que les personnes toxiques nous la sapent souvent sans qu'on s'en rende compte: Rapidement, notre niveau d'énergie changera: nous attirerons des relations plus saines et des belles personnes qui partageront nos valeurs et qui nous respecteront.
Aimons-nous assez pour ne plus accepter le poison des relations toxiques dans notre vie."
Dans la peau de Mariama
-c'est qui qui va aller se faire consulter aujourd'hui , en tirant les joues de mon fils qui ne cesse de sourire mashaa' Allah ...
Il grandit si vite mashaa'Allah et est le sosie parfait de son papa et Mariane... Je viens de comprendre cette parole des ancêtres nous disant que ton enfant va ressembler à la personne qui te fatiguait le plus durant ta période de grossesse... Et pour mon cas c'était Mariane , elle me provoquait jour et nuit et jusqu'à maintenant elle ne m'a pas lâché d'une semelle ... Je la surveille comme du lait sur le feu quand elle descend de l'école... Elle pense que son petit frère est une poupée. Elle est entrain de reprendre exactement la même scène que Noor lui faisait quand elle n'était encore qu'un bébé. Elle veut s'impliquer dans tout ce que je fais pour lui , même quand il téte c'est elle qui lui ouvre la bouche pour lui faire prendre le sein....
-reste sage hein, maman doit prendre son bain ....
Je vais bientôt devenir folle à force de rester seule entre les quatre murs... J'ai beau supplié Momar de me laisser reprendre mon travail mais il ne veut rien entendre me disant que le petit est encore fragile pour sortir... Et quand je lui ai proposé de le laisser chez maman Haby il est resté catégorique en disant que la santé de cette dernière est très fragile, je ne dois pas la fatiguer.... Finalement je me suis résigné en jouant à la parfaite femme au foyer même si au fond j'en souffre puisque mes activités me manquent...
Quand je suis sortie de la salle de bain , il est toujours resté sage dans la même position en jouant avec sa tétine. Il est tout le contraire de son frère Balla, il ne me laissait aucun répit à cet âge, parfois je pleurais même avec lui ne sachant pas quoi faire... Heureusement qu'il est devenu très calme en grandissant mais il commence à m'inquiéter ce temps-ci , il est devenu très réservé à mon encontre tout juste après la naissance de son frère.Il ne m'approche même plus comme avant pour me faire des câlins à sa descente de l'école.. C'est moi qui pars toujours vers lui, seul Oumou parvient à le faire rire... Quand j'avais décidé d'en parler à Momar, il m'avait tout simplement répondu que son comportement est très normal puisqu'il devient un grand garçon....
-chérie je suis toujours à l'école de Mariane , prenez un taxi je ne pourrais pas venir vous chercher, en lisant le message que Momar vient de m'envoyer...
Il n'est pas sérieux je vous jure. Il a osé vraiment partir à l'école de Mariane pour aller régler son compte avec la petite qui a fait des égratignures sur le visage de sa maman... J'en suis sûre et certaine que c'est Mariane qui l'a provoqué car elle nous cachait bien ses blessures hier soir à la descente alors que si c'était elle qui n'était pas en tort , elle allait tout faire pour nous faire remarquer son visage et pousser même son père à joindre la maitresse au téléphone le même jour...
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Le Destin d'Une Belle Mère : Tome 3
Tiểu Thuyết Chung"Ici je suis chez moi, Je suis vraiment chez moi. Les hommes que je vois, Les femmes que je croise, M'appellent leur fils Et les enfants leur frère. Le patois qu'on pa...