Chapitre 4

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~Psy...

C'est toujours perdu dans ses pensées, les yeux rivés sur la vitre de son côté et les larmes menaçant de lui rouler sur les joues que Manuela ne remarqua même pas que la voiture venait de stationner devant son immeuble. Mais c'est lorsque le chauffeur fit signe à Alexander à côté d'elle avec sui elle n'avait plus échangé un seul mot durant le trajet qu'ils etaient enfin arrivé à destination qu'elle fut surprise.

_On est arrivé ? Mais où ? Demanda t-elle en regardant Alexander.

_Tu ne reconnais pas cette rues dans laquelle tu fais ton footing hebdomadaire les matins dis moi? Lui repondit-il en l'a questionnant sans la regardé.

Elle ouvra la bouche en clignant des yeux n'en revenant pas...

_Je rêve où comment tu sais que je fais un footing hebdomadaire les matins en plus je ne t'es jamais donné mon addresse d'ici à Casablanca comment tu peux savoir?

Il se retient de lui répondre en riant quant elle continua les yeux dans les yeux...

_Ma mère n'es pas? C'est ma mère qui t'as donné mon addresse? Dit-elle presqu'en élevant le ton.

_Je t'es aussi fait suivre pendant un certains temps depuis Miami. Avout-il sans aucuns remord à entendre sa voix un peu enjoué.

Mais ça n'était pas le cas de Manuela qui furieuse, ouvrit la portière de la voiture de son côté avant de lui lancé presque dans un râle.

_Tu es incorrigible! Temrine t-elle avant de descendre et de l'entendre ne même temps dire...

_Incorrigiblement charmant Man! Dit-il dans  un sourire dangereux l'a voyant fermé furieusement la portière à son plus grand bonheur.

Il l'a regardait de l'intérieur, contourner sa voiture jusqu'à gravieusement rentrer dans son immeuble en bougeant son beau corps à la fois trempé  et séduisant avec ses vêtements lui collant à la peau. Il se surprit entrain de gonfler inconsciemment. Qu'elle Éveillait des sens en lui, pensa t-il avant qu'elle ne disparaisse et qu'il annonce à son chauffeur derrière le volant qu'ils devaient reprendre la route jusqu'à l'hôtel cinq étoile où il loge durant son séjour au Maroc.

Fermant la porte de son apparte à double tour avant de coller son dos à la porte, la respiration halletante, le coeur battant, les yeux fermé, le sac perché le long de son épaule droit et les chaussures à talons qu'elle a enlevé dans les escaliers en montant tout à l'heure dans sa main gauche, Manuela, a bien cru mourir d'infactus tellement ce qu'elle ressentait en sa présence l'electrifiait depuis tout le temps qu'elle a eu à être en sa présence, à le regarder, à respirer le même air que lui, elle s'était sentit des plus étouffée et maintenant qu'il n'était plus dans les parages à la dominer de son aura, de sa présence, et bien elle respirait à nouveau une air pure sans qu'un poison nommé Alexander ne fasse battre son coeur à une  hallure démentiel.

Elle posa sa main droite sur sa poitrine pour essayer de faire taire son coeur mais les yeux toujours clos, elle s'interdisait intérieurement une seule chose, retomber amoureuse de lui. Ça, elle s'interdisait formellement. Il lui avait bien trop fait de mal, et elle n'avait pas le droit de l'y laissé entré de nouveau.

Du coup, chanssant ses pensées mauvaise pour elle, elle prit sur elle et se dirigea de manière déterminé vers sa chambre en s'empressant d'aller s'en fermé dans la salle de bain pour prendre un bon temps bien aux aises dans sa baignoire immergé dans une haut des plus tiède à la senteur de la fraise . Toutes ses secousses l'on fait oublié qu'une pluie ardante l'avait mouillé jusqu'aux extrêmes des sous vêtements. Et si un Alexander ne l'avait pas rattrapé lorsqu'elle tombait au sol glissant et ne l'avait pas déposé et bien, elle le serrait encore plus.

Depuis Toujours Où les histoires vivent. Découvrez maintenant