Une Petite Étincelle [Prequel PRS]

Une Petite Étincelle

NDA (IMPERATIF !): Coucou, mes petits anges 🥰!!

Au dernier chapitre de DAD que j'ai posté, je vous avez annoncé que je collaborais avec ma chère Poulpy (allez voir son compte et abonnez-vous, c'est obligé ! 😌), sur une fanfiction qui nous est littéralement tombée dessus 🤣 On vous donnera des infos au fur et à mesure des avancées (sûrement 🤣), mais je peux, d'ores et déjà vous annoncer, que le premier Arc sortira cet été !!

Donc, pour un petit, je ne dirais pas "avant-goût" parce que je ne pense pas que ça soit exactement ça, mais plus comme un bonus à part avant la publication et en tant que hors-série (sidestory) de Pour Réparer un Sourire [PRS], je vous laisse découvrir ce One-Shot qui m'est lui aussi, tombé sur la tête un soir à 1h du mat'... (Poulpy sait très bien de quoi je parle, elle paie les frais de mes heures sups... 😌🤣🤣🤣😏)

Pour plus d'infos sur PRS, je vous engage à regarder souvent notre actualité à toutes les deux (sachant aussi que Poulpy va sortir (ENFIN !!) sa nouvelle fic !!) 🤣😏

Sur ce, je vous laisse découvrir mon premier OS...

.   .   .

Un voile est déposé sur mes yeux bleus. Le ciel coloré se reflète à la surface.

Quel spectacle époustouflant.

Regarder les cieux à cet instant, me replonge au milieu de ma routine habituelle et quotidienne. Quand je côtoie les cieux à longueur de temps lorsque je m'envole là-haut pour sentir l'air glisser entre mes plumes de flammes. Me sentir libre et à l'abri de tout problème.

Et quand je regarde la mer céleste, je me souviens de ces petits moments durant lesquels je profite. Je me souviens des caresses que le vent me procure lorsqu'il vient s'engouffrer entre mes flammes. Mais aussi, lorsque je frissonne de plaisir malgré cette chaleur que tu dégage alors que tu es accroché à mon dos, le visage épanoui et ébloui devant la beauté du paysage marin.

Tes mains passent dans mon plumage enflammé et tu ne ressens pas, cette vague intense qui me parcourt tout le corps. Quand je perçois ton souffle près de mon cou quand tu te penches en avant pour effleurer la surface de l'eau sans la toucher pour ne pas t'affaiblir.

Mais que, dans un entrain d'amusement, j'effectue une petite rotation sur le côté, te faisant plonger le bras dans la mer froide et salée, tu te retrouves impuissant, le teint pâle et grimaçant. Que tu rouspète vivement contre ma blague que tu traites de mauvais goût, alors que je sais parfaitement que tu es capable de faire le même genre de coups bas.

Mais dans ces moments, ce que j'entends, ce ne sont pas tes réprimandes.

Non.

C'est le doux son de ta voix qui se mêle dans une mélodie envoûtante, au chant de la brise maritime et au bruit apaisant des vagues. C'est toi qui produis cette musique magnifique et paisible qui m'enveloppe à chaque instant.

Je te regarde aussi lorsque tes cheveux sombres, couleur ébène et obsidienne, ondulent au rythme de tes pas. Tes pas suivants avec entrain, la musique jouée par nos frères. Ces moments mélodieux et entraînants sur le pont. Quotidiennement. Chaque jour à la même heure pour cette leçon journalière donnée par notre épéiste aux roses rouges.

Je te regarde du haut du mât courir dans tous les recoins pour trouver une bêtise à faire, une blague encore plus loufoque que la précédente d'il n'y a même pas deux minutes.