Chapitre XV

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C'était la fin de semaine. Tu avais pris le bus avec Taeyang pour retourner chez vos parents. Tu voulais parler à tes parents de mettre ta grand-mère en résidence. Plus, ça faisait longtemps que tu ne les avais pas vu à cause de l'université.

Tu étais d'abord passer chez la famille à Taeyang qui était venu vous récupérer en voiture. Vous aviez préparé du kimchi entre fille avec sa mère et sa sœur. Son père avait préparé des ailes de poulet et des burgers. Ce soir c'était la demi-finale de soccer. Tu dormis là-bas et parti le dimanche, chez ta vraie famille avec un plat de kimchi préparé de la veille.

Les marches de la villa parut comme une éternité à monter à cause de ton appréhension. Qu'est-ce qu'ils allaient pensé de ton idée? Est-ce qu'ils allaient en payer une partie?

Tu t'assias dans les marches avec ta valise après avoir cogner. Tu savais qu'ils allaient prendre cinq minutes à ouvrir. Ton téléphone vibra dans ta poche arrière. Tu le pris pour voir un message de Yeonjun. C'était une photo d'un petit restaurant.

Il y avait un bar et plusieurs tables en bois et une table de billard. L'éclairage était plutôt sombre et un des murs étaient remplis de photos. Sur une des étagères, il y avait plein de cannes de jus de tomates. Sur une autre, des jeux de société.

Tu reçus un autre textos :"Les propriétaires sont adorables. C'est un couple qui ont ouvert leur propre pizzeria dans le but que les étudiants puissent venir s'amuser et manger ici. C'est très bon. Est-ce que tu voudrais y aller la prochaine fois?"

Tu répondis :"Super idée mais comment on paye le billet d'avion?"

Sa réponse fut presque instantanée et te valut un sourire :"C'est vrai j'avais oublié ce petit détail Σ(ಠ_ಠ)"

-"Qu'est-ce que tu fais ici je croyais que tu venais en soirée."

-"Non maman(엄마), je quitte en soirée."

-"Ah bon. Plus vite (발에), entre. Tu bloques les marches."

Tu entras dans le 4½ pas moderne. Rien avait changé. L'odeur te répugnais toujours. Parquet en bois qui craque, la salle de bain avec la toilette et les tuiles turquoise. La cuisine avec deux plans de travail de chaque côté de l'évier dont un encombré par la machine à café. Un poêle, pas de four. Un frigidaire qui sent le lait caillé. Tu te retournes essayant de ne pas te souvenir du jour où les rats c'était installé dans ce frigo. Le canapé de cuir rouge - seul meuble ayant un minimum de valeur dans ce logis - du salon était placé en diagonale pour couvrir l'endroit où vous aviez enlever les planches de bois moisi. La veille télévision carré que ton père avait gagné dans sa vingtaine n'avais pas bougé. Bien sûr, il avait les moyens d'acheter un écran plat mais "Ce téléviseur est irremplaçable. Point à la ligne." Le demi-balcon était encombré par l'étandeur à linge. Et le mur adjuvant à la fenêtre avait toujours la toile de bateau.

-"Tu peux te commander quelque chose." Dit ta mère en se rassiant sur le canapé, dans les bras de ton père.

"Non merci." Répondis-tu en grimaçant. Cet endroit t'enlevait l'appétit. "Je voulais vous parler de grand-mère. Il faudrait l'envoyer dans un centre ou vivre avec quelqu'un elle devient trop vieille pour rester toute seule."

-"C'est ridicule ma mère c'est toujours bien porter." Grogna ton père.

-"Oui mais elle n'était pas vieille et facilement malade."

-"Pourquoi elle ne les paye pas elle-même, ses résidences." Marmonna ta mère sachant qu'elle n'avait aucun lien avec cette dame et donc aucune incidence sur la réponse.

-"Parce qu'elle a passé toutes ses économies pour payer mes études. Alors pourquoi ne pas lui rendre la faveur en l'envoyant dans un belle endroit entouré de gens de son âge et avec un service d'infermières 24/7."

-"Ce sont tes études pourquoi devrions nous payer?"

-"Parce que c'est aux parents de payer les études de leurs enfants." Ils commençaient sérieusement à t'énerver. Comment deux personnes aussi égocentrique faisaient pour entre en couple.

-"Ne prend pas ce ton sur moi jeune fille" Ton père bomba son torse comme pour avoir l'air intimidant.

-"Excuse toi maintenant!" Réclama ta mère.

Tu sortis de la villa. Tes parents n'étaient pas pauvres, ils se payaient des croisières chaque année. Ils étaient juste radin. Même avec leur propre famille. Il pleuvait mais tu préfèrais te mouiller que rester ici une seconde de plus. Tu atteint le bus trampe et fis le trajet jusqu'à ton appartement frigorifiée au ciel gris et orageux de septembre.

Au soir, dans la douche, tu laissas les larmes coulées de tes yeux. Elles étaient nombreuses et grosses. Tu étais épuisée et t'endormis espérant juste te retrouver dans les bras de ton Yeonjun qui était de l'autre côté de la planète.

The Perfect Fit - Yeonjun TXTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant