Seo ChangBin, un jeune prince du Royaume Habenaria, se trouva être obsédé par le prince du Royaume Psittanica. Malheureusement, les deux jeunes hommes ne se parlaient que très peu. ne cessait d'essayer de chercher ce garçon partout, que ce soit dans...
ChangBin vient tout juste de finir d'écrire. Il posa sa plume. Il décontracta ces muscles. Un léger soupir passa la barrière de ces lèvres. ChangBin se lève, replaçant par la même occasion sa longue veste comme il se doit. Il sortit de son bureau, faisant claquer les talons de ses souliers. Les gardes le suivirent du regard. Il arrive dans le salon principal. Il arriva devant sa mère, il lui embrassa le dos de sa main tout en se baissant. Il lui sourit.
- Quel beau temps fait-il ! S'exclama la femme. Que pensez vous faire aujourd'hui ? Votre soeur est partie rendre visite à l'une de ces amies, elle ne reviendra pas avant vendredi pensons nous.
- Je pense passer la journée à m'instruire à la bibliothèque.
Un léger sourire triste s'afficha sur son visage. Sa mère lui sourit puis elle prit place dans son fauteuil et saisit sa tasse. Son fils l'admirait.
Sa mère était fine, grande, d'une grande beauté, élégante et sensuel. Sa grande sœur était comme sa mère, trait pour trait. Son père, quant à lui, était grand et musclé, bienveillant et autoritaire, il avait un charme qui obligeait tout le royaume à poser son regard sur cet homme. Puis vient au tour de ChangBin, il n'était ni grand, ni très musclé. Les personnes ne le trouvait ni beau, ni charmant. On le qualifiait de mauvais et méchant. Il avait deux qualités, l'autorité, comme le roi, et l'intelligence. Il est l'un des princes les plus réputés de par son intelligence et son éducation. Il était quelqu'un de galant. ChangBin possédait un petit plus qui lui était favorable, même si les femmes n'étaient pas attirées par ce jeune homme, elles étaient tout de même envoûtées par lui.
Il s'inclina devant la femme du château et retourna dans son bureau. Il saisit son manteau, les temps étaient beau mais il ventait beaucoup et ce d'un air glacial en cet période de fin hiver. Ces yeux fixèrent la feuille en plein milieu de son appui de travail.
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En l'a lisant une énième fois, il ne cessait de sourire et de ce trouver fou de ce qu'il fessait. Il secoua légèrement la tête, enfila son manteau, il plaça l'une de ces mains dans ces cheveux, puis il finit par sortir et fermer la porte à l'aide de la clé. Il la plaça dans sa poche et tourna sur lui même pour commencer son chemin jusqu'à la plus grande bibliothèque que le pays possède.
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EH COUCOU BANDE DE CONS INEXISTANTS !!
Ça fessait quelques temps :)
Voici une nouvelle histoire ;-;
Encore :D En plus je n'ai même pas fini les autres :)
