Seule

3.

Tous le monde à quelque chose qu'il n'aime pas chez lui. Je me trompe? Je ne croit pas à vrai dire. Il y a ceux qui font partie de mon clan, qui non plus aucune estime de soi. Et il y a l'autre clan, trop sur d'eux et qui se croit dominer par leur beauté. Et aussitôt que vous êtes différente, pouf. On s'abat sur vous. Vous êtes dorénavant une proie facile. Ils connaissent tous alors votre point sensible. Et c'est la que commence l'intimidation. Pour plusieurs, tous a commencer au secondaire, et d'autre comme moi, à l'élémentaire. Et je ne me trompe en disait que c'était sur votre physiqu. Déjà que votre estime n'était pas élevé, maintenant elle est encore plus à terre. Je vais vous avouer que moi, je ne me souviens plus vraiment pourquoi tout ça a commencé... Bref. Si jamais il pouvais m'arriver quelque chose, mon frère Matthieu m'avais appris comment me défendre. Et puis vient le secondaire, je me dit une nouvelle année qui commence, une nouvelle vie qui s'écrit, mais détrompez-vous. Encore une fois, la vie ne ma pas laisser avoir un brin d'espoir. Vous vous souvenez de ma dîtes "meilleure amie" au primaire? Elle se prénomme Marianne. Et puis, elle à continuer a pourrir ma réputation au secondaire. Parce que, devinez quoi. J'étais dans la même classe. Surprenant n'est-ce pas? J'avais entendu des rumeurs. Qui n'en n'étais pas vraiment une. Des mots qui circulaient sur les réseaux sociaux. Sur facebook, plus précisément. Je dois préciser que je suis entrer dans une concentrations musique, le music club. Je voulais devenir pianiste, je vous en reparlerez. Alors, je me suis créé un compte. Et devinez les paroles qui y circulaient? « Jenny n'est même pas bonne. Elle retarde Gabrielle et Kevin. Eux, ils sont bon.» Je sais que je n'était pas bonne. Ce qui ma le plus blessée? C'étais le fais qu'elle dise que à cause de moi, l'autre pianiste et le trompettiste (qui avait auparavant déjà jouer) prenait du recul. Mais à ma grande surprise, la majorité des autres élèves du même groupe que moi, étais de mon compter. Même avec leur défense, je n'avais pas le goût de retourner en classe le lendemain. L'intimidation n'est pas qu'en milieux public, mais aussi sur les réseaux sociaux, et il en profite encore plus si vous n'avez pas de compte. S'il vous plait, je vous en pris, foutez moi la paix maudite embrouille.