𝙸𝚏 𝙸 𝚆𝚊𝚜 𝚂𝚝𝚒𝚕𝚕 𝙰𝚕𝚒𝚟𝚎 | ˣˣˣᵗᵉⁿᵗᵃᶜⁱᵒⁿ

VI

J'étais confronté à un dilemmes. Devrais-je m'en remettre à dieux et attendre mon heure.

Je ne pense pas être croyant. Mais quand sa nous arrange. Pouvoir se raccrocher à quelques choses qui n'est pas naturelle. Cela nous mène à espérer.

Cela dis. Je raccroche au nez de Billie.  Je m'assois épuisé et distrait par cette nouvelle. Le temps d'encaisser. C'est irréel.

Je compose le numéro de cette femme, mon ex.

Je ne suis pas une bonne personne.

J'approche le téléphone de mon oreille.

Je me pince la lèvre inférieure, fronce  légèrement des sourcils. Mon expression est très froissée. une certaine peur s'en émane.

Elle décroche.

Un silence.

Puis des mots sortes d'entre ces lèvres suivies d'un léger soupire.

-Jahseh. Je n'ai pas besoin de t'expliquer ce que je souhaite.

-Une présence paternelle ?

-Quoi ? S'exclama-t-elle. En lâchant un rire très ironique. Non. Tu ne saura pas  t'occuper de notre enfant. En revanche je m'attends à une pension. Si tu peux y songer.

-Comment peux-tu être sûr que c'est mon enfant, et pas celui, d'un de tes rencards Tinder.

Elle soupira d'agacement.

-Viens faire un test de paternité.

-J'en ferai un. On en reparlera.

Je raccroche. Je regarde autour de moi et passe mes mains le long de mon visage les remontant jusqu'à mes cheveux.

Je voulais exprimer toute mes émotions actuelles. Cette situation ne me plaît pas. Des choses me retiennent. J'ai essayé pendant longtemps de faire de mon mieux. Mais je ne peux plus.

Je me lève. Je prend violemment un vêtement qui traîne et lance brusquement celui-ci contre un mur.

Je fais tombé là chaise. Je hurle fortement ma peine. Ma douleur. Mon mal être. Ma colère.

Lâcher moi. Retire toi. Épargne moi cette douleurs. Je ne veux plus ressentir quoi que ce soit.

J'ai fais tant de chose futile tout en me disant que finalement tôt ou tard on fini notre mission par la mort.

C'est sombre. Sa l'est. Je ne peux m'autoriser à être heureux. A partir du moment où l'on née. Certain son destiné à être combler de bonheur et d'autre à souffrir. D'autre construit leur propre bonheur malgré qu'ils n'ont pas eux de bon départ.

Je subis. Je veux seulement, faire résonner mon dernier souffle.

Être père.

Merde.

Je me calme.

Me rhabille calmement. J'ai un carnet chargé. Et un enfant à voir.

Je regarde mon portable.

Billie ne cesse de me spammer.

J'éteins mon portable.

|Après une bonne absence je reviens avec quelques choses de très peu travailler, et de nombreuses fautes.
Je m'excuse. Je voulais simplement écrire.