Chapitre 53

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Précédemment

José : El chente (chinte)

Moi : que él ? (que lui)

Juanquin : los territorios que no nos pertenecen, por supuesto sus jefes son nuestros enemigos.
(les territoires qui ne nous appartiennent pas, bien évidemment leurs patrons sont nos ennemis)

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Comme repère pour vous mes cocaïnes j'ai décidé que toutes les parties écrites en italique sont des discussions en français etc...

Et ceux avec des écritures normaux sont en espagnol ( sauf quelques-uns) .

Pour ne pas vous troublez avec les traductions.

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Moi : ah d'accord

Une fois que tout est prêt ils embarquent les pastèques dans un grand camion.

Juanquin : toño tu vas avec le chauffeur

Toño : d'accord patron mais si on arrive à la frontière et que la police fédérale nous fouillent.

Moi : je viens avec vous et le problème est réglé.

Amado : tu viens d'arriver ici et tu ne connais pas encore tout ici, ne viens surtout pas faire foirer notre business

Moi : mais je ne date pas dans ce business et je connais des tics que tu ne connais sûrement pas car ta grand-mère te les as pas appris tchuiiippp

Juanquin : tu en es sûr ?

Moi : oui

José : le camion est prêt vous pouvez aller alors

Ils me souhaitent bonne chance et tout sauf Amado.

Moi : merci

Je monte dans le camion au côté passager ainsi que Toño.

Le chauffeur démarre le camion.

Les portes de l'usine s'ouvrent puis on bouge.

Je vous passe le long trajet qu'on a fait.

Frontière du Mexique 📍

15 h 22

Je commence à avoir faim

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Je commence à avoir faim.

Moi : eh roule doucement il y'a la police

Deux voitures de police fédérale nous interpellent.

Mariage forcé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant