Lost Love

Chapitre 43 : '' Nathan ''

Cela fait bientôt quelques heures que j'attends Bloom, elle est parti sans même me dire ou elle était allé et le simple fait qu'elle se soit fait kidnappée me fait frissonner. Quand elle sera rentrer, j'exige des explications et un simple pardon ne suffira pas à me faire oublier l'angoisse que j'ai eu. Personne ne sait ou elle est, je continue à faire les cents pas dans le salon tandis que sa sœur rentre dans la pièce en haussant un sourcil.

-Tu n'as pas l'air d'aller bien, tu veux que je t'aide ?

Mila me lance un faible sourire en s'adossant au mur et je me tourne vers elle.

-Non, je cherche Bloom, tu ne sais pas ou elle est aller ?

Elle secoue la tête en se mordant la lèvre.

Je sais qu'elles ne s'entendent pas très bien et que leur relation est très compliqué alors je doute que Mila ce souci du moindre problème de sa sœur. Je pars dans la chambre en la claquant derrière moi, j'ai besoin de me détendre et penser à autre chose car je vais finir par devenir fou. Je m'allonge sur le lit en regardant mon portable au cas ou, Bloom m'aurait rappelée, son téléphone va finir par être saturée aux nombres de messages que je lui est laissé.

Pense à autre chose !

Ce n'est pas son genre de partir toute une après-midi sans prévenir mais je chasse vite toutes les pensées négatives de ma tête. Je déboutonne mon jeans en le retirant à la hâte ainsi que mon boxer, peut-être que me donner du plaisir m'aidera à me détendre. Je prends mon sexe dans ma main, ce contact ne me fait absolument pas bouillonner de plaisir alors qu'avec Bloom, c'est tout le contraire. J'exécute des mouvements de va et vient en me laissant aller au fur à mesure de mes à-coups devenu plus brutal pour augmenter la dose de jouissance. Je me mordille la lèvre en retenant le moindre gémissement qui pourrait s'échapper de ma bouche. Le simple fait d'imaginer, la main de ma fiancée sur mon membre et non la mienne, me procure une sensation de bien-être. Je ferme les yeux en me sentant venir, je ne tiendrais plus très longtemps avant de jouir. La porte de ma chambre s'ouvre délicatement et je me renfrogne en soupirant de frustration. Mes yeux s'ouvrent et je découvre que Bloom se tient juste devant moi, elle se mordille la lèvre assez gênée de m'avoir déranger dans mes occupations.

Il suffisait que je me masturbe pour qu'elle vienne à moi !

L'atmosphère est devenue pesante, je ne sais plus quoi dire et l'harceler de question servirait à provoquer une terrible dispute que j'aimerais éviter. Elle me rejoint sur le lit, pas le moins dérangé par ma nudité et elle se tourne vers moi l'air désolé. Bloom me doit bien des explications mais pas maintenant, la tout ce que j'ai envie, c'est de la baiser sur ce lit en l'entendant hurler mon prénom. Pourtant, je me ressaisis en me penchant vers elle pour prendre son visage entre mes mains et je cède en posant mes lèvres sur les siennes. Elle approfondi le baiser qui devient beaucoup plus pressant et impatient. Je sens ses doigts filer vers mon membre déjà durci par l'excitation qui a besoin de sentir ses mains expertes me donner autant de plaisir qu'elle le pourra. Son pouce passe sur mon gland en le pressant délicatement pour que je me cambre en gémissant de plaisir tout en serrant les draps avec mes doigts. Cette fille exercera toujours ces bien faits sur mon corps et ce n'est pas pour me déplaire. Bloom commence à faire des va et viens de plus en plus rapide que je suis presque au bord de la jouissance. Je ne veux pas jouir maintenant pas temps que je ne lui aurais pas donner une partie de jambe en l'air. Je lui enlève ses habits avec énergie pour continuer notre activité et je rentre dans son vagin déjà lubrifiée. Elle gémit de surprise, nous n'avons pas l'habitude de passer les préliminaires mais j'ai besoin de sentir sa chair s'engorgée de plaisir.

Et il n'y a que moi qui puisse te donner cette sensation, chérie !

Je donne des à-coups beaucoup plus brutal comme si nous étions pressé d'en finir mais je ne veux pas être doux avec elle. Je suis tellement content de l'avoir retrouver saine et sauve que la simple pensée qui me traverse l'esprit, c'est de nous satisfaire mutuellement.