chapitre 1

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  Sophia une jeune afro américaine arrive à l’université Wolf, dans les contrées lointaines constituée d’anciens riches et de nobles, sur le campus elle peut voir des statuts imposantes et importantes de loups, mais cela ne l’étonne guère car  toute la ville en est orne, depuis le grand portail jusqu’à Dieu ne sait où ?, mais aussi elle peut constater à quels points la plupart de ceux qui y venaient avait les poches remplies de sous mais cela ne l’inquiétait point, le seul fait de se savoir accepter l’avait transporté de joie, et c’était le cas de plusieurs des gens simples comme elle qui devant tant de splendeur était ébahie. Elle s’était classe parmi les plus prestigieuses de ce pays, les boursiers devaient tous avoir une lettre de référence de leur école, elle n’en avait pas les moyens cependant il se trouva qu’elle put l’intégrer.  Sur le campus, se trouvait une multitude de gens  qui donnait des prospectus et essayait de convaincre ceux qui passaient de s’allier à leur cause, mais elle refusa bon nombre, passant de table en table sans trouver rien d’intéressant, elle se découragea ne trouvant rien qui lui plaisait quand tout à coup elle tomba sur un stand ou était écrit en ‘FAVEUR DU RECYCLAGE’, alors que la plupart était bourre de monde celui-là en comptait très peu de volontaire, comme il était presque l’heure de la fermeture elle s’empressa de se présenter et comme si elle était un envoyé de Dieu, ils l’a reçurent à bras ouvert, elle s’inscrivit, et reçut la charte du groupe ou fut inscrit tous les règlements, ensuite rentra chez elle, ou plutôt chez son beau-père qui habitait le château légué  par son père, il se nommait  Raves et sa mère Nadia, ils s’étaient maries il y a  peu près 4 ans et avait 1 fils et une fille. Malgré le poids des années, il avait gardé un charme et avait toujours été bien entretenu en l’absence du propriétaire.

Lorsqu’on se trouvait dans les plaines on pouvait voir des maisons de luxe et contemporaines, ensuite supposer qu’ils n’y avaient pas plus imposantes qu’elles cependant en y allant la haut ce qu’on pouvait voir donnait matière à réflexion, et Sophia faisait partie des chanceux qui avait pu côtoyer l’une d’entre elle. La semaine passa rapidement et arriva le jour où commencèrent ses cours.
                  Le premier jour, ce matin-là, elle se leva de très tôt, pris un bain rapidement fit une simple queue de cheval bon essaya car ses cheveux n’obéissait pas à la loi gravitationnelle, s’habilla d’une robe verte qui lui arrivait au-dessus du genou,  était bruyante et stressante car ‘‘c’était le premier jour’’ Aussi simplement habillé elle descendit, prendre son déjeuner, arrivé sa mère et tous ceux qui s'y trouvait furent dans l'effroi, se sentant gêné elle inventa une excuse: «  j'avais oublié de m'acheter de nouveaux vêtements avant le déménagement et je ne sais pas où on trouve des magasins ici », avant qu' elle n'eut le temps de finir sa phrase sa mère réplica « ne t'inquiètes pas ma chérie je sais ou on en trouvera, je t'accompagnerait après les cours »
« Non j'irai toute seule et de plus les horaires ne sont pas pareil qu'au collège »
« Je le sais, j'attendrai que tu m'appelles car tu n'as pas de voiture »
« J'ai » , avant d'en placer une, elle reçut un nouveau, elle comprit que sa mère n'avait nul intention de renoncer alors elle prit le téléphone et sortit, sur le chemin elle décida d'aller prendre un café car l'odeur était venu lui chatouiller les narines, elle rentra et trouva une file, elle regarda sa montre et décida de prendre la queue, lorsque son tour arriva elle décida de prendre un mélange de deux grains guatémaltèque, étant en difficulté de le préparer elle lui donna les marches à suivre et elle fut vite remarquer par le chef gérant qui lui proposa de venir travailler ce qu'elle ne peut refuser, contente de voir que quelque chose changeait dans sa vie, elle se retourna sans faire attention et faillit renverser son café sur un homme de grande taille, cependant sans savoir comment, il empêcha le drame était-ce le fruit de son imagination ou bien était-ce un magicien ?,  alors regarda ses vêtements pour voir si le calcul était erroné, aucun éclaboussures sur ces vêtements ni sur celui du monsieur, voyant qu’elle agissait comme une folle il la ramena a la réalité ?,  alors regarda ses vêtements pour voir si le calcul était erroné, aucun éclaboussures sur ces vêtements ni sur celui du monsieur, elle resta muette ne sachant quoi dire ni quoi faire, pour s'excuser il faudrait que le mal soit fait ce n'était pas le cas, en reprenant ses esprits elle se surprit a marmotter un mot d'excuse, gentiment il lui répondit: «vous n'avez rien fait ne vous excusez pas» a ces mots l'homme pris congé et s'en alla, elle fit de même mais en chemin elle continua à réfléchir sur la manière dont il a pu empêcher ce désastre, mais ne trouva aucune explication plausible, elle marcha longtemps avant d'y arriver, elle y arriva après trois quart d'heure de marche et fut épuiser, ensuite passa prendre son horaire, et entra dans son premier cours de la journée, dans la salle tous se cherchait une bonne place pour s'asseoir mais il semblait quelle était en retard car il en restait que très peu quand tout à coup quelqu'un lui fit signe de la main et là elle vit l'une des filles de l'association Gina et elle alla la rejoindre quand elle entendit la porte s'ouvrir et quelqu'un entrée, les saluant et leur demanda de s'asseoir ce que tout le monde fit au tout début alors que l'enseignant écrivit son nom au tableau elle eut le sentiment que cette voix et cette morphologie lui rappelait quelqu'un mais elle ne pouvait le savoir car elle était nouvelle dans la ville et elle ne connaissait personne, elle ne soucia pas mais lorsqu'il se retourna pour leur faire face elle eut un choc, ce ne pouvait être vrai était-ce un rêve?

cité des loupsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant