Chapitre 4

51 5 5
                                    

Elle ce lève et regarde son emploi du temps.

Morgane : On a spot 2h puis anglais et ensuite arts plastiques. L'après-midi science 1h. Le seul point positif c'est qu'on termine à 14h.

Une fois arrivé en E.P.S elle part ce changer.

Fille 1 : T'as vu les seins qu'elle a ?!

Fille 2 : Ouais ah ah ! Elle est super moche !

Morgane ce dépêche et sort la première. Les garçons la siffle.

Loan : Ça te fait un jolie Q !

Evan : C'était agréable hier !

Mme Moro : Au lieu de rire faite moi un tour de piste.

Ils s'exécutent sans bronché. Loan mes la main au fesse de Morgane, Rayan rigole.

Loan : Dit donc c'est que c'est ferme tout ça !

Tout le monde rigole. Après l'échauffement ils font leur session de basket. Ils partent ce changer. Les filles ricanes dans leurs coins, l'une d'elle part. Et revient avec Loan, Rayan et Evan. Tout le mondes est parti.

Morgane : Qu'es ce que... 

Loan : Ta gueule et susse moi ça !

Il a enlevé son pantalon. Les deux autres la traîne par terre. Evan lui tiens les cheveux, pendant que Loane en fonce sa b!te au font de la gorge.

Rayane : Eh ! Emilia et Emmeline filmé ! Allez !

Emilia et Emmeline sorte leur téléphone.

Morgane : Arrêter !

Elle les repousse temps bien que mal, et par au toilette. Elle s'effondre au sol. Les larme au yeux.

Morgane : pourquoi moi ! Ah ah ah !

* Sonnerie *

Morgane sèche c'est larmes et par en cour. L'après midi arriva. Elle par en cour de science. Le prof fait l'appel.

Emmeline : Regarder! Morgane est une grosse pute !!

Elle montre la vidéo à toute la classe.

Garçon1 : Elle suce bien la pute ! Ahahah ! 

Fille 1 : Dégueu ! 

La classe : LA PUTE ! LA PUTE ! LA PUTE ! LA PUTE ! 

M.RICOUR : Ça suffit ! Morgane tu viendra me voir à la fin du cours !

L'heure passe et arrive le moment de l'entretien.

M.RICOUR : Tu peux venir. 

Morgane : oui. 

M. RICOUR : C'est quoi cette histoire ?

Morgane : C'est pas moi... 

M. RICOUR : Il fallait venir me voir si tu voulais du sale.

Il l'a prend par la taille et la regarde droite dans les yeux.

Morgane : Je... je 

Morgane pense : J'arrive plus à bouger ni à parler ! Qu'es qu'il m'arrive ?! 

M. RICOUR : Je vais te faire monter au 7ème ciel. Tu va voir, elle est énorme.

Il l'embrasse, lui déchire le collent, lui enleve la culotte, la pousse contre le bureau.

Morgane : A... Arrêté ! 

M. RICOUR : Et pourquoi ? Regarde ce que tu as fait. Tout ça c'est de ta faute, tu le voulais donc tu vas l'avoir que tu le veuille ou non.

Il l'a tient fermement et la claque. Les larmes lui monte. Elle dit d'une petite voix.

Morgane : Pourquoi moi ? 

M. RICOUR : Ta gueule ! Je t'ai autorisé à gémir pas à parler !

* BAME *

Il l'a gifle, et lui enfonce. 

* CLAQUE * 

Morgane ce débat mais tout ce qu'elle gagne c'est des coups. 

* BAME BAME BAME BAME * 

M. RICOUR : TU VA ARRÊTER OUI !!! 

* BAME BAME * 

Morgane : AHHHH !!

* CLAQUE CLAQUE CLAQUE *

Il continue à la v!oler. Elle lui met un coup au ventre. Il s'arrête pendant un instant.

Morgane : NON MONSIEUR ! JE SUIS DÉSOLÉ !! NON !

M. RICOUR : LA FERMMMME !!!!

Il lui fracasse le crâne contre le pc. L'écran cassé, le sang coulent sur le sol. Il continue à la v!oler.

* CLAQUE CLAQUE CLAQUE CLAQUE CLAQUE CLAQUE *

Elle n'ai qu'à moitié contiente. Mais il continue de la v!oler.
Après 1h il la ramène chez elle et part. Morgane se réveille et ce souvient de tout.

Morgane : AAAAAHHHHHHHH !!!! POURQUOI !!! POURQUOI !!! POURQUOI !!! AAAAAAAAAHHHHHHHHH !!!!

Tout en ce fracassant le crâne contre un coin de meuble.
Elle prend un couteau et une corde. Elle se plante le couteau dans l'œil.

Morgane : Ça fait du bien... Il m'en faut plus !

Elle ce lacérer les bras, le ventre, les jambes.

Morgan : La corde... la corde.

Elle rigole. Elle crache de sang. Morgane ce lève, prend la corde et l'attache au tour de son cou.

Morgane : adieu monde de merde et... désolé maman.

Elle tire violament. Le sang coule à flot.

Morgane : ... 

( cc ses la pote de la narratrice voilà salut.) 

(merci Christine <3) 

Elle est désormais dans une grande salle blanche, qui paraît infinie.

Son suicideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant