La Fille Du Milliardaire (Une Irréfutable Attirance) Tome II

Chapitre 2

Salut Salut. J'espère que vous allez bien, moi si. Voici le chapitre 2 de ce livre, j'espère qu'il vous plaira. Donnez-moi vos impressions jusqu'ici. L'autre chapitre est prévu pour cette prochaine semaine, s'il n'y a pas de problème.

J'attends vos commentaires.
À la prochaine C 💖!

Un an plus tôt.

-À l'hôpital tout de suite ordonna-t-elle.
-Oui, Mlle Traynor répondit-il.

Ils montèrent dans la voiture et tant bien que mal, ils réussirent à se dégager sur la route. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent à l'hôpital où elle se situait grâce à l'une des médias qui rapportaient la situation. On montrait l'image du lieu de l'accident et c'était vraiment affreux, beaucoup de journalistes disaient que ce n'était pas qu'un simple accident d'autres si. Elle arrivait à l'hôpital et descendit de la voiture pour entrer à l'intérieur de l'hôpital, beaucoup de journalistes profitèrent de ce moment pour la photographier et pour la bombarder de question auquel elle ne répondit pas. John lui vint à la rescousse en leurs barrant le passage avec quelques gardes de l'hôpital pour qu'elle puisse enfin entrer et elle reprenait sa respiration lorsqu'elle fût à l'intérieur de celle-ci, elle vit son père au loin et elle l'interpella en courant presser de le rejoindre pour plus d'explications. Elle fut reçu par deux paires de claques pour aucune raisons valables, ses joues la brulaient, ses yeux la piquaient mais elle ne releva pas la tête trop honte pour celà, elle avait envie de pleurer mais elle se retint en fermant brièvement les yeux . Les infirmières s'en allèrent en chuchotant et ayant de la peine et de la pitié pour cette pauvre fille.

-Qu'est-ce que tu as encore fait ? Assène-t-il. Celà ne t'as pas suffit de prendre la vie de ta mère ? Maintenant tu veux celle de ta soeur ?

-Puisque je lui ai donné toute l'héritage, tu.... Continua-t-il en se faisant couper par Zoé.

-Je n'ai rien avoir avec l'accident de ma soeur coupa-t-elle sèche. On a simplement eu une discussion assez houleuse et elle est parti prendre l'air.

Elle reçu une troisième gifle après cette tirade, elle grinça des dents. Combien de gifles allait-elle prendre? Combien de temps cela va-t-il perdurer? Peut-être lorsqu'elle sera marier ? Elle en avait assez de toutes ses tortures physiques et mentales qu'il lui infligeait.

-Ne t'ai-je pas dit de ne peux pas me couper ? Où as-tu appris tes manière sûrement pas de ta mère ou de moi.

-Je savais que tu étais l'une des causes de son accident. Je savais que tu n'apporterait que malheur à notre famille. ajouta-t-il

Son coeur se serra à l'entende de ses mots, c'est comme recevoir de l'acide en plein cœur. Combien de fois l'avait-t-il entendu de sa bouche? Combien de fois l'avait-t-il accusé des choses qu'elle n'avait pas faite ? Des milliers de fois. Sa culpabilité résurgissait en se rappelant de sa dispute avec sa soeur et elle le fusilla du regard. Elle aurait bien voulu répliquer quelques choses mais elle ne le fit pas par une sorte de soumission ou d'auto-defense pour ne pas avoir encore l'une de ses foudres. Elle alla prendre un cappuccino dans le petit restaurant de l'hôpital puis entreprit de s'asseoir sur une chaise de la salle d'attente, la peur y était à l'intérieur d'elle en appréhendant cette opération parce qu'elle savait que son père lâchera la faute sur elle et elle-même ressentira une forte regret de l'avoir parler et reprocher ainsi alors qu'elle essayait juste de l'aider tandis que son père préférait faire des va et vient incessant devant elle.

En temps normal, le reste de la famille serait soudé jusqu'aux coudes et s'épaulerait mais ils n'étaient pas une famille normale, non, elle ne savait même pas comment la nommer en observant son père serré les dents et passé ses mains dans ses cheveux et elle malaissé. C'est vrai aussi que Zara représentait sa fille, sa précieuse fille... Son oeuvre comme il aimait tant le dire, le successeur de l'entreprise et bien plus encore.... Elle... Elle n'était qu'un pion pour lui dans son jeu d'échec, il ne la considérait pas comme sa fille ou du moins c'est ce qu'il montrait depuis qu'elle respirait. Il ne voyait que sa petite personne et rien d'autre puisqu'il ne voulait pas que son demi-frère hérite de l'héritage.