La Fille Du Milliardaire (Une Irréfutable Attirance) Tome II

Chapitre 6

Média le personnage que je me suis faite d'Ivens.

-Papa comment as-tu pu me faire ça ? S'écria-t-elle en entrant dans le bureau avec fracas.

C'était la première fois qu'elle entrait comme cela dans le bureau de son père sans lui demander la permission et c'était trop tard d'avoir du regret. Deux jours étaient passés après ces accidents vraiment suspicieux et aléatoires, en repartant avec de légères séquelles , elle n'avait que des blessures externes tandis que son père avait la main gauche bandé par des bandages blanches, elle allait retrouver toute leur mobilité dans un mois s'il ne faisait pas d'efforts.... Facile à dire quand un homme travaillait chaque jour sur sept et ne faisait rien que cela pensa-t-elle.

Des policiers étaient venus les interroger hier et ils avaient conclu que c'était un crime volontaire, jusqu'à présent ils m'étaient des dispositifs pour les protéger de quelques autres attaques du criminel et cherchaient assidûment le coupable sans grande succès... De toute façon ils venaient tout juste de commencer et de poursuivre l'enquête contre sa soeur. Ses questionnement intérieures l'avait poursuivirent à l'aube l'empêcher de dormir et de se calmer... Cherchant qui voulaient à ce point leur mort mais ne trouvaient aucun dans son contact de recherche. Elle était sûr que ce n'était pas un skalteur ni... Quelqu'un qui lui était proche.... C'était peut-être le cas ou le cas de celui de son père. Cela s'avérait être extrêmement difficile puisque l'auteur pouvait être n'importe qui... Ce qu'elle ne savait pas c'est que la personne était plus proche de ce qu'elle pensait.....

Elle soupira en coupant court à ses réflexions qui lui faisait perdre du temps et qui allongeant ainsi son stress. Ce qui comptait à ce moment c'était de convaincre son père de redonner le poste à John son garde du corps qui lui avait sauver la vie plus d'une fois, il venait de le prouver avant-hier en ayant le pied gauche cassé et ils l'avaient aider plus que tout dans les moments difficiles. Il était devenue plus qu'un garde du corps pour elle... Il était devenu un ami... Un frère de coeur sur qui compter de tant en tant et cela faisait cinq ans qu'il était avec elle plus précisément lorsqu'elle avait dix-sept ans et dans trois mois il allait avoir six ans. C'était hors de question qu'elle change de garde du corps et accordé sa confiance encore une fois... Il était hors de question que son père le jette comme une vulgaire objet devant ses yeux. Cela elle se l'interdisait ! Et elle allait devoir confronter son père même si elle allait recevoir ses foudres, elle était prête à l'endurer ! Si c'était pour garder un ami à côté d'elle alors qu'elle ne pouvait les compter sur les doigts de la main.

Au lieu de s'énerver comme il avait l'habitude de faire, il déposa juste sa plume sur le dossier qu'il finissait de rédiger en soupirant. Elle plissa des yeux méfiantes, depuis qu'elle avait eut cette accident, elle voyait qu'il se comportait bizarrement avec elle. Il lui montrait un soit-disant affection... Qu'elle n'avait pas besoin en ce moment ou du moins elle se méfiait qu'il manigançait quelques choses alors que c'était faux, il voulait tout simplement se rapprocher petit à petit d'elle mais la réaction qu'il attendait fut loin de ses attentes. Elle était devenue froide, méfiante, austère et le mur qui les séparaient, s'agrandissit et s'épaissit d'un seul coup. Il commençait à perdre espoir qu'elle puisse alors le pardonner alors qu'il venait à peine de débuter. Ce qu'il craignait le plus.... C'était de lui avouer la vérité.... Toute la vérité sur la mort de sa mère.... Ça il était sûr qu'il en était incapable pour le moment.

-C'était le mieux à faire répondit-il enfin en cessant de la fixer.

-C'est injuste, il y a deux jours il venait de me sauver et deux jours après il se fait renvoyer ? Quel est le motif ?

-C'était son travail de te sauver la vie. C'est le risque à prendre en faisant ce genre de travail répliqua-t-il

-Il a bien fait le travail alors... redonne-lui le poste ordonna-t-elle sèche en croisant les bras.