Oblivion

"Je ne sais pas qui je suis , ni les raisons qui attire mon esprit ici."

Tout à commencé au Synapse. Les Cieux avaient une idée de projet, une arme ultime. Mais ils devaient d'abord faire des testes, c'est ainsi qui naquît Oblivion. Cet être fût conçut avec de la chair et du sang. Il était né que pour souffrir. Ses hurlements déspérés resonnaient dans la salle insonorisé. Il tentait faiblement de se libérer des griffes cruelles de ses bourots. Sa courte vie atroce se termina dans la douleur de ses tortures. Les Cieux laissa son corps inbibé de sang dans un coin de la salle. Les années passèrent donc laissant le corps encore vivant de Oblivion dans la solitude et la souffrance de ses blessures. Seul sa respiration saccadée, lourde et faible lui répondait à son silence. Puis, un jour, les Cieux arrivèrent dans cette salle où pourrissait le pauvre être. Après, s'être débarrassés de Atheria, ils jetèrent Oblivion tel un déchet dans le Néant. Il flôta donc dans ce rien, encore dans le silence et le froid de ces lieux. Quand pour la première fois de sa triste vie, il sentit une main remplit de douceur lui carrésser la joue. Son corps frissonna et s'apaisa de sa vieille souffrance. Une voix féminine envahit ses oreilles qui entendaient, enfin, pas que le silence. Oblivion sentit son corps meurtri de détendre éffaçant la douleur de ces cicatrices. Ses yeux jusque là toujours clos, s'ouvrirent pour voir un beau visage curieux. Il regarda ce visage que afficha un sourire. Machinalement, un sourire se dessina sur son visage ce qui lui donna une étrange sensation. Il était perturbé, il n'en était par  persuadé mais il se sentait peut-être bien. Sans le savoir en acceptant l'amitiié de l'ange du Néant, il scéllait son destin. Elle allait faire de lui sa propre ombre. Pour leur vengeance, Oblivion allait enclencher des guerres. Ces morts étaient un moyen de faire souffrir Gaïa en détruisant ses créations. Oblivion aveuglé écoutait sans rien dire Atheria. Sous l'apparence d'un hérisson, il fournit une armé à Orak pour affronter Irin et son groupe. A l'Antiquité, sous la forme d'un coyotte, il anima colère de Eris créant la guerre de Troie. Au moyen-âge, avec l'apparence d'un hérisson à la fourrure rouge, il aida Cryo à contrôler "la Pomme". Sous l'apparence d'un griffon, il donna un moyen à Alastor d'invoquer le Néant pour obtenir un pouvoir sans limite. Et enfin, il réussit à déclencher les deux plus grandes guerres. Il faire plaisir à celle en qui il croyait . Mais à force de répandre la mort, il s'était mis à se poser des questions. Tuer des innocents est-il si utile pour notre vengeance? Perdu dans ses pensés, il les confia à celle en qui il avait le plus confiance, Atheria. Malheuresement, l'ange du Néant prit cette pensés très mal. Elle ne voulait pas se venger de Gaïa qui l'avait soit disant abandonnée. Oblivion, lui, depuis le début croyait se venger des Cieux. Pour la première fois, ils entrèrent en conflit. Dans sa dernière forme, celui d'un hérisson noir, il participa dans la deuxième guerre mondial en soldat inconnu. Oblivion ainsi anonyme voulait faire comprendre à Atheria que tuer des innocents ça revient à la tuer aussi. Alors que le hérisson avançait au front fût touché par un balle au ventre. Le choque le fit tomber à genoux. Ses yeux avaient une vue sur lezs conséquences destructrices de la guerre.Il posa sa mains sur sa blessure qui saignait. C'est à ce moment qu'elle décida d'apparaitre devant lui avec deux doigts vers le haut de la tête de Oblivion. Son regard noir fixait Oblivion. Elle visait la tête du hérisson avec ses doigts. Celui qui lui à toujours été fidélé, la regardait les yeux remplis de larme trahit. Les deux se regardaient dans un silence horrible parfois coupé par les explosions et les bruits des balles de la guerre. Aucuns ne bougeaient, quand Atheria tira sur Oblivion. Le pauvre homme tomba en arrière laissant des larmes couler. Son corps tomba au sol les yeux toujours ouvert. Son regard trahit fixer Atheria qui disparut sans se retourner laissant Oblivion donner son dernier souffle dans la solitude des bombardements.