L'infiltrée

Chapitre vingt-six.

À ma grande surprise, je me suis réveillé dans mon lit, encore vêtue comme la veille. Hier soir, après m'être confessé  à Harry, nous sommes aller dans le salon et il n'a fait que m'écouter. Je lui ai parler de tout et de rien, de mon enfance jusqu'à maintenant et j'ai du m'endormir sur lui. Car je ne souviens pas m'être rendu dans ma chambre. 

Avant même que je me laisse le temps de me rendormir, je suis sortie du lit pour aller prendre une bonne douche. J'y suis resté plus longtemps que d'habitude, car j'ai réalisé que c'était peut-être ma dernière douche, mais je crois que c'est plutôt parce que je me suis perdu dans mes pensés et que l'eau chaude qui coule sur mon corps qui viens à peine de se réveiller me fait énormément du bien. 

 En sortant de la douche, mon téléphone se mit à sonner. Je me suis empresser d'aller le prendre, mais mon téléphone n'affiche aucun appel entrant. C'est en me tournant la tête que je vis un autre cellulaire sur le comptoir de la cuisine. Je n'ai pas acheter ça. 

" Allo ? " 

" Lüka, c'est Mike. J'ai pas eu le choix d'aller te porter un téléphone, le tien est sous surveillance. " 

" Arg, fait chier. Merci Mike, vraiment. Alors on en est où ? " 

" Elle est toujours chez elle et j'ai placer deux gars pour la surveiller comme demandé. Ennio est à son bureau et une voiture l'attend pour l'embarquer." 

" Parfait. Et pour Karl ? Est-ce que tout sera prêt ? "

" Oui, ils seront présent lorsque tu arriveras. Est-ce que tu as prévenu les autres du changement  ? " 

" Je vais faire ça dans moins d'une heure. Je vais arriver à l'heure prévue et je vais avoir besoin de quelques hommes à l'extérieur. "

" Aucun problème. À ce soir. "

" Merci Mike. "

Je racrohca et m'empressa de contacter les autres pour un meeting urgent. 

~ Harry c'est Lüka, mon téléphone est sous surevillance, je vais être chez vous dans 10 minutes. ~

Je m'empressa de détruire mon vieux téléphone dans le broyeur. Je pris mes clic et mes clac, puis je fonca chez Harry.

...

Cinq voiture dans l'entré, parfait. Aussitôt que je fut à l'intérieur, je voulais l'attention de tout le monde.

" OK ! Tout le monde dans le salon ! " criai-je depuis le hall d'entrée

Sans attendre, je vis tout le monde me rejoindre dans le salon, attendant mes instructions.

" Ok, alors il y a un changement de plan. " 

" Quoi ?! Pourquoi ? "

" Camille. C'est simple, elle sait le plan initiale et c'est sur qu'elle en a discuté avec mon oncle et ils ont déjà un contre plan. Alors j'ai fait des petits chagements."

" Comme ?  "

" Vous avez le choix, vous pouvez m'accompagner ou vous pouvez rester ici, car je n'aurai plus besoin de divertion. " 

" Comment ça ? " 

" Parce qu'il y a une voiture qui attend mon oncle à la sortie de son travail pour une dernière balade et c'est pareil pour Camille et mon invité surprise. Je vais aller les rejoindre dans un bâtiment qui est retiré de la ville. " 

" Et pourquoi est-ce que c'est une option de venir ? " 

" Si vous venez c'est pour le spectacle, mais je vous avertis je ne veux pas d'intervention. Vous me laissez faire ce que j'ai à faire. " 

" Ça me va. "

Et ce fut pareil pour tout les autres. 

" Je dois aller les rejoindres dans une heure. "

Je ne suis pas sur de la façon dont ils réagiront lorsqu'ils se rendront comptes du genre de plan que j'ai en tête. Je crois qu'il s'attendent s'implement à ce que je leur tire une balle dans la tête et que je laisse pourrir leur corps dans le bâtiement. Pour qu'on revienne ici et que l'on prenne une bonne bièrre pour fêter ça. 

C'est sur que ça serait beaucoup plus simple et moins salissant, mais où est le plaisir dans tout ça ? Il n'y en a aucun. Ma famille à souffert, j'ai souffert et je ne vois pas comment je pourrais seulement leur tirer une balle entre les deux yeux et les laisser mourir comme ça. Ils vont ressentir ma peine et si ce n'est pas plus.

...

L'heure a passé et c'est, maintenant, le temps de partir et de mettre fin à tout ça. Durant tout le trajet, je resta silencieuse, mais dans ma tête tout était bruyant. Sauf que cette fois-ci, mes pensées étaient en ordre, tout ce à quoi je pensais était comment est-ce que j'allais les faire souffrir. Je dois planifier ce genre de chose, puisque je ne peux rien laisser au hasard. 

Une fois arrivé, je dis à Louis d'éteindre et d'allumer ses lumières deux fois consécutive, pour que mes hommes sachent que c'est moi. Lorsque je suis sortie du véhicule, je vis Mike se diriger vers moi d'un pas décider. 

" Mike, qu'est-ce qui ce passe ? " 

" Lüka, on a un problème. "

" Décrit moi le problème. "

" La fille n'était pas seule et tous les deux étaient en route pour aller voir Ennio. " 

Je pris une grande inspiration, puis je fis signe aux gars de sortir des véhicules. Je retourna mon regard vers Mike. 

" Bah, c'est pas la fin du monde, un invité de plus pour m'amuser. "

" C'est ce que je me suis dit. "

Il attendit que les gars soient à notre hauteur pour nous faire signe de le suivre à l'intérrieur. Mike est un ami de la famille, depuis des années, bien avant que je sois née. Mon père lui a toujours fait confiance, puisque Mike était comme lui et il s'avère qu'il est comme moi. Il était aussi le plus loyale des amis de mon père. C'est pour ça que je n'ai jamais perdu contact avec lui, parce qu'un homme comme lui... c'est simplement irremplacable. 

Comme on allait franchir la porte, je m'arrêta et regarda les gars droit dans les yeux et leur fit par de quelques consigne. 

" Avant d'entrée, je voulais vous dire de ne toucher à rien. Vous ne pouvez pas vous permettre de laisser vos emprunt partout et aucune interruption. Si vous voulez sortir vous le faites sans me déranger. Compris. " 

Je reçus cinq "compris" puis je fis signe à Mike de nous montrer le chemin. Ce qu'il fit sans attendre, puis il me fit signe d'entré dans la pièce à ma droite.

" L'invité de plus est à l'intérieur. "

" Merci. " 

Et c'est parti.