La chute du champion

10 1 1
                                    

Ce texte-là, je l'ai écrit il y a deux ou trois mois en cours, alors que je m'ennuyais. En cours de... français, je crois. Bref, on s'en moque.
Encore une fois, je vous le retranscrit comme tel, alors ne vous étonnez pas s'il y a des phrases qui sonnent étrangement ! Croyez-moi, à l'écriture, ce n'est pas l'envie qui me manque de corriger, reformuler... Aarrrh il y a des phrases qui n'ont pas de sens, quelle horreur !

Attention ! Bien que la scène se déroule dans le monde d'Huntyria, et que le personnage se prénomme Emrys, ce n'est pas un spoil.
Cette scène ne se déroulera sans doute jamais, je voulais simplement écrire un combat d'arène.


Sur ce, commençons.

Le jeune homme entra dans l'arène. Aussitôt, le soleil l'éblouit. Il grimaça.

Le sable chaud crissait sous ses pieds. Son adversaire entra dans le cercle, à son tour. À l'unisson, ils se tournèrent vers la loge royale et plantèrent leur épée dans le sol.

L'adversaire, le champion des arènes d'Alphabelön, le redoutable Morgath aux Poings d'Acier, s'agenouilla, et, joignant ses mains sur le pommeau de l'épée, se prosterna avant de clamer : "Ô Orinh, Roi d'Alphabelön, Empereur des Flammes, Héritier de Valmut et Conquérant de l'Adarnie, je te fais allégeance et promets de te servir jusqu'à ma mort. Ma lame est tienne, mon bras est à tes ordres, tu n'as qu'à parler et j'obéirai."

Le souverain accueillit ces paroles rituelles en hochant la tête avec dédain, puis se tourna vers Emrys. Son conseiller fit de même, et parla :

"Etranger ! clama-t-il. Tu es venu sur nos  terres, tu as bafoué nos lois et tu as tenté d'atteindre à la vie de notre souverain ! 

Ainsi, ce dernier te condamne à mort ! Cependant, en Alphabelön, nous valorisons les grands combattants. Aussi, dans sa grande bonté, Sa Majesté propose que tu meures au combat.

Affronte notre champion, Morgath aux Poings d'Acier !

Vaincs-le, et tu auras droit à une mort douce ! Perds... et il prolongera ta mort en d'atroces souffrances !"

La foule hurla.

"Maintenant, ajouta le conseiller, jure selon les paroles rituelles allégeance au Roi."

Le jeune homme planta son épée dans le sable, face à lui. La foule retint son souffle. Il se tourna vers le Roi.

"Je jure, commença-t-il, de finir ce que j'ai commencé. Ô Orinh, Roi des traîtres, Empereur des félons, Héritier de la Cupidité et Conquérant de mes deux, je jure que tu mourras par mes mains. Ton sang souillera mon épée, ton coeur nourrira mes chiens ! Ta tête ne méritera même pas de piédestal, je la cacherai, honteux de cette pièce la plus laide de ma collection !"

Les murmures redoublèrent. Il conclut :

"J'en fais le serment."

Bouillant de rage, le souverain dit d'une voix sévère :

"Très bien. Commencez !"

Aussitôt , le champion d'arène se rua sur son ennemi, et tenta de lui asséner un violent coup d'épée.
Emrys eut à peine le temps de l'esquiver que son adversaire revenait déjà à la charge.

"Je n'ai pas eu le temps de récupérer mon arme ! pensa-t-il. Et il ne me laisse pas l'approcher."

En effet, le champion protégeait férocement la lame.

"Je n'ai pas le choix. Je dois perdre l'avantage de la surprise."

Il tendit la main vers l'épée, bien qu'elle soit à cinq mètres de lui. Aussitôt, sa main se mit à luire. La peur put se lire sur le visage de son adversaire.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jun 25, 2021 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Ecrits en vracOù les histoires vivent. Découvrez maintenant