Les larmes

415 31 2
                                    

Maria avait quitter la pièce dans un doux sifflement guilleret. Parlait-elle de Peter Pan ? Non, personne ne connaissait son existence. Peut être en aurais-je parler durant le petit déjeuner alors que j'étais à moitié endormis ? Ou bien Maria faisait juste référence à quelqu'un d'autre. Ce léger soupçon me fit penser que je ne devrai pas lui poser la question. En même temps, la description était exacte et j'ai bien vu à l'expression maligne de son visage, qu'elle s'attendait à ce que je soit étonné. Le soir-même, il revint.

Il devait être huit heures, j'étais en pyjama, mon iPad dans les mains à tapotez vivement sur la tablette pour écrire mon essai d'histoire. Et il est entré, sans même y être inviter. Il a posé ses pieds sur mon parquet et est venu me voir.

- Bonjour Maïa, me salua-t-il.

- Bonsoir plutôt, répondais-je avec ironie.

Je ne parvenais pas à croire que j'étais parfaitement calme et que je parvenais à faire preuve de sarcasme alors que Peter Pan étais dans ma chambre. La vérité inavouable était que je lui en voulais. De ne pas être venu plus tôt.

- Tu as raison ! Sourit-il. Bon euh voilà...

- Je ne connais personne de triste, excuse moi donc tu peux ziout ziout, dis-je en faisant de petits gestes de la main en direction de dehors.

Il s'assit sur mon lit et me regarda, comme la dernière fois, d'une façon que personne encore ne m'avait regarder. Il laissait ses yeux se balader sur mon visage concentré, de ma bouche irrité par le froid à mes yeux rougis par les larmes.

- Pourquoi tu as pleuré ? Demanda-t-il d'une voix sérieuse.

- Je... Je ne pense pas que ... Que ..., commençais-je. Mais attend le véritable problème c'est que je parle a Peter Pan, à Peter Pan !

- En quoi c'est un problème ?

- Je... Laisse tomber, je ... Ce n'étais pas contre toi.

J'ignore toujours de quelle façon mais quelques minutes plus tard, les larmes ont coulées de nouveaux, dévalant avec vitesse mes joues blanches. Mes sanglots ont suivit, m'empêchant de parler, me secouant et créant un mal dans la gorge, comme une boule. Peter c'est alors approché de moi. C'était la première fois que j'osais ainsi le nommer dans mon esprit, Peter, juste Peter. Il à poser une main sur mon épaule, sans gêne, sans maladresse, de la façon la plus simple qu'il soit et m'a attirée à lui, calant ma tête sous la sienne. Je pleura, je pleura encore. Pour ne pas me rendre encore plus ridicule que je l'étais, je ne tentai pas de parler ni même de m'exprimer malgré toute la colère et toute la tristesse que j'avais besoin de crier. Toute l'injustice que je vivais. A quelle point cela me révoltais. Il me chuchotais des paroles réconfortantes en regardant le plafond. Il caressait amicalement et avec réconfort mes cheveux avant de m'allonger dans le lit. Il se releva et me regarda quelques secondes. J'étais pathétique, ainsi pelotonné entre mes coussins, couverte jusqu'au épaules avec ma couverture blanche, les joues rouges et les yeux brillants. Néanmoins il me sourit gentiment et me dit : « Je reviendrais ».

--------------------------------------------------------------------------------------------
Hey! Je suis désolé ce chapitre est rempli de fautes et super court :(, je n'ai même pas eut le temps de corriger le précédent :( Je le ferai dès que je pourrai et surtout, je vais vraiment essayer d'écrire un prochain chapitre plus long ❤️ merci pour les commentaires et les votes qui m'ont franchement fait très plaisir, n'hésitez pas à voter de nouveau ou à donner votre avis en commentaires ❤️
xx ❤️❤️❤️

Take me to Neverland, PeterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant