-La Lune est belle n'est-ce pas ?- Kise Ryôta x reader

Chapitre 28

PDV OMNISCIENT 

Qui aurait pu se douter que le cadre idyllique dans lequel évoluaient les deux tourtereaux depuis quelque temps n'était que le calme avant la tempête ? 

(t/p) : " Mais pourquoi tu penses que c'est moi ?!" 

Kise : " Qui d'autre ?!" 

(t/p) : "T'utilises jamais ta cervelle ?! Après le match il y avait bien des journalistes ça doit venir de là !"

Kise : "  Tu comprends pas (t/p) c'est ma carrière qui est en jeu ! Sois pas égoïste."

(t/p) : "Tu me gonfles Kise Ryôta !" 

Elle claqua la porte et parti, pour comprendre tout ce remue-ménage il faut revenir quelques heures en avance. 

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Kise et (t/p) se rendait ensemble au lycée, ne laissant paraître des gestes d'affections que lorsqu'ils étaient seuls. Ils avaient convenus ça d'un commun accord, ça ne regardait pas les autres et surtout, qui sait quelles en seraient les conséquences. 

Ils se rendirent au gymnase comme d'habitude,  

Se changèrent, comme d'habitude,

S'entrainèrent, comme d'habitude, 

Se douchèrent, comme d'habitude. 

En bref leur journée se passait comme d'habitude, jusqu'au moment où, alors qu'il rentraient chez eux après une journée de cours intense, Kise reçu un appel de son manager de mannequinat. 

"On a besoin de toi. Viens vite." C'est tout ce qu'il avait dit mais ça laissait sous entendre l'urgence de la situation. 

Pas le temps de réfléchir, il empoigna (t/p) et parti en direction de son agence. Arrivé la -bas rien ne laissait paraître un quelconque désagrément, pourtant son manager avait bel et bien quelque chose d'important à lui dire. 

Les deux jeunes gens attendirent une bonne trentaine de minutes avant qu'on vienne chercher Kise, qui lui embarqua la jeune fille. 

Ils se retrouvèrent alors tous les deux dans un grand bureau, sobre, le blanc qui dominait la salle et le côté épuré de celle-ci donnait une allure froide à la pièce bien qu'esthétique. 

(T/p) se tenait droite sur son siège ne se sentant pas à sa place. Kise lui attendait plutôt de savoir la raison de cette réunion soudaine. 

Manager : "Bien, je ne vais pas faire durer le suspens plus longtemps mais avant ça, je suis Ryo Tsubasa le manager de Kise enchantée."

Il lui tendit la main qu'elle prit en répondant : 

(T/p) : "(T/n) (t/p) enchantée également."

Ils se rassirent tous les deux et M. Tsubasa commença : 

"Je suis navré de t'apprendre ça Kise mais le dernier magasine dans lequel tu es la vedette, paru avant-hier connait un gros floppe. L'équipe en charge de ce magasine l'a relu à plusieurs reprise mais rien ne pourrait justifié un tel refus de la part des consommateurs alors nous nous sommes penchés sur la presse people. Quelqu'un avait-il dit du mal de notre société ? Y-avait-il eu un retard lors du chargement et des livraisons ? Rien de tout cela n'a été signalé. Vous devez alors vous demandé d'où vient le soucis ? J'y arrive. Nous avons fouillé ce qui te concerne sur les réseaux et, sur un de tes compte fan, nous avons trouvé une rumeur qui pourrait justifié le manque d'entrain de nos consommatrices." 

Après avoir dit cela d'une traite il souffla un grand coup puis reprit : 

"Il paraîtrait que vous sortez avec la jeune personne à vos côtés. Je vous laisse trouvé une solution. Vous pouvez disposer." 

Kise : " Oui, on va aller en discuter chez moi."

. . . . .  

Kise : "Récapitulons. On se donne des marques d'affection qu'après avoir vérifié que personne ne nous voit."

(T/p) : "Exact."

Kise : " Pourtant" il souffla " à l'évidence quelqu'un sait qu'on a une relation plus qu'amicale." 

Elle hocha la tête. 

Kise : " Je n'ai rien dis à personne donc ma question est la suivante : Pourquoi t'es allé raconté ça ?!" 

(T/p) : "Pardon ?!"

Kise : "T'étais tellement contente qu'on est une relation comme ça que t'es allée te vanter ?!"

Elle eût un mouvement de recule mais se repris très vite.

(T/p) : " Répète pour voir ?! Tu penses que c'est ma faute ?!" 

Il la regarda comme si c'était évident. 

(t/p) : " Mais pourquoi tu penses que c'est moi ?!"

Kise : " Qui d'autre ?!"

(t/p) : "T'utilises jamais ta cervelle ?! Après le match il y avait bien des journalistes ça doit venir de là !"

Kise : " Tu comprends pas (t/p) c'est ma carrière qui est en jeu ! Sois pas égoïste. "

(t/p) : "Tu me gonfles Kise Ryôta !"

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La jeune fille était donc chez elle a passer sa colère sur tout ce qui lui passait sous la main. 

Il avait fallut qu'un de ces maudits journalistes people les prennes sur le fait. Elle était en colère contre le journalistes mais plus encore contre Kise. 

Elle voulut appelé Momoi mais se rappela que celle-ci pouvait éprouver des sentiments à son égard donc elle appela Kagami. 

Le pauvre jeune homme ne se doutait pas qu'en décrochant son téléphone il la trouverait en larme, luttant pour articuler correctement. Il ne comprit pas tout ce qu'elle lui disait il partit la rejoindre chez elle sans hésitation. 

Une fois devant chez elle, il sonna et après quelques secondes la porte s'ouvrit devant lui. Il trouva son amie les yeux rougis et gonflés. 

Après une léthargie de quelques secondes il fondit dans ses bras, lorsqu'elle sentit les bras de son ami autour d'elle elle ne pu s'empêcher de sangloter. 

Elle le fit rentrer, il enleva ses chaussures, et s'assit à ses côtés sur le canapé en lui demandant quel était la chose qui la mettait dans cet état. 

Elle remonta ses genoux contre sa poitrine et entreprit de raconté sa version. Comment Kise l'avait accusé à tord, comment il ne lui avait pas fais confiance, comment il avait privilégié sa carrière de mannequin, ce qu'elle aurait comprit si il ne lui avait pas répété maintes et maintes fois que c'était juste un passe temps et qu'il s'en lassait. 

Il passa son bras autour de ses épaules mais ne dit rien, il la laissait se calmer. 

Kise lui était resté un moment pétrifié après leur échange. C'était pourtant évident que c'était un des journalistes, quel intérêt aurait-elle eut à dire ceci. 

Il s'était emporté quand il a comprit que sa carrière était en jeu, seulement ce n'était pas pour les raisons que pensait son amie. 

La véritable raison pour laquelle il garde ce travail est qu'il paie bien, il économise l'argent gagné pour offrir un voyage de rêve à (t/p), là où elle avait toujours voulu aller. Il ne lui reste pas grand chose à économiser, un salaire tout au plus, alors s'imaginer arrêter si près du but l'avais tendu. Il voulait vraiment pouvoir partir en voyage avec elle et voilà que maintenant elle est persuadé qu'il ne lui fait pas confiance et qu'il lui en veut pour rien. 

Son cœur lui faisait mal. Il serra sa chemise au niveau de celui-ci et baissa la tête, lorsqu'il le fit il sentit des gouttes sur son poing. 

Il aimait cette fille, et ça le rendait malade.