2. Nouvelle Vie, Nouvelle Maison

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       Tous à changer au moment où Rose à changer d’une petite fille de 9 ans sur son vélo à une jeune fille de 23 ans qui s’apprête à voyager à une grande ville pour chercher du travail en s’éloignant de son père.

- Mais Papa, tu sais bien que je t’aime et je veux rester avec toi toujours, Proclama Rose.

- Oui ma fille. Mais Pourquoi maintenant ? Reste un peu encore. New York est très grande et tu ne sais rien à-propos cette ville. Tu va vivre où ? Et comment ?  s’écria son père.

- Chère doux père, j’y vais parce que je dois le faire. Je suis plus grande maintenant j’ai besoin de travail et je dois m’installer, il y’a de travail que dans les grandes villes. Ce n’est pas très loin, je viendrai de temps en temps et je t’appellerai toujours, chaque nuit. Je te le promets. Une amie de ma mère Lucie, tu l’as oublié ! J’ai son adresse, elle va m’aider. Je suis sure qu’elle a un appartement où je peux vivre. Alors ne t’inquiète pas je serai bien, Répliqua Rose d’une voix douce.

      Rose s’approcha de son père et posa délicatement sa main sur son visage, le regarda attentivement dans les yeux avant de se lancer dans ses bras et on lui disant d’une voix basse :

- Tu va me manquée papa.

       C’était les adieux, elle prit sa valise et monta dans la voiture qu’elle a louée pour aller à New York. Le chemin était très long dans la voiture. Fenêtre ouverte ses cheveux dorées étaient caressés par le vent, les poussaient sur son visage blanc et lisse d’ange avec ses yeux remarquables bleuâtre en forme d’amande, Rose était d’une beauté séduisante, si douce et généreuse.

       Après 4 heurs de route, Rose arriva enfin à sa destition New York. À l’aide de l’adresse qu’elle avait dans sa poche, elle parvient chez Lucie, une amie de sa mère.

- Qui es ce ? J’arrive. Mais arrêter de sonner à la porte, je ne suis pas sourde ! Surgit une voix féminine derrière la porte d’entrer.

        La porte s’ouvra d’un coup. C’était une femme âgés de 40 ans mais elle gardait les traits de beauté, cheveux lisses mi long et marrons, vêtus d’une robe ordinaire rose avec un col blanc tachés de rouge en dirait de la soupe ou du vin, elle ne l’a pas remarquée.

- Bonsoir Madame, je m’appelle Rose Osmor et je suis la fille de Sarah Dalton. Je cherche Madame Lucie Courh, elle est une amie de ma mère, On m’avait dit qu’elle habite ici, Lui dit Rose.

- Oh ! Ma chérie Rose, Répondit la femme. C’est bien toi ? Au mon dieu que t’a changée. Tu es devenue belle et charmante comme ta mère l’était. Je suis Lucie, ne reste pas la, entre.

        Installer au salon, elles buvaient du thé chaud que Lucie à préparer pour Rose après son chemin  fatiguant. Rose a tous raconter à Lucie : pourquoi elle est venue à New York et Ca recherche d’appartement et de travaille.

- Bien sure ma fille que je peux t’aider, répliqua Lucie. Ta mère était ma seule meilleure amie et je ferais tous pour sa fille. Prend tes affaires et viens avec moi j’ai un appartement pour toi, il n’est pas très loin d’ici. Tu peux t’installer et pour le travail demain matin tu sortiras faire un tour en ville, tu trouveras quelque chose.

         Après avoir parcouru 6 quartiers, un parc et 4 rues de la maison de Lucie, elles sont arrivées à une maison non préoccupés, on dirait hantée vues de l’extérieure  avec sa porte noir et ses fenêtres plein d’araignées. Il avait de la poussière partout devant la porte et sur les fenêtres. En ouvrant, la porte fait un bruit très haut qui peut réveiller les morts. Rien ne change, en dedans aussi la maison était horrible et sombres, très vielles et petite, pleine de poussières et d’insectes.

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