*Partie 8*

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( Salam Aleykoum les filles, j'suis vraiment désolée de la lenteur de ma chronique mais je suis jamais dessus avec les études. Je sais que certaines attendent la suite alors que d'autres non mais pour celles qui la suive de près envoyé moi un message privé ou un commentaire pour me dire de mettre la suite pcq comme je suis jamais dessus j'ai tendance à pas trop être dedans. Donc si vous me notifiez que vous voulez la suite ça serait mieux pour vous et moi. Bisous et bonne lectures les filles ❤️)

Karim - Bref fallait que je te parle.. Tu veux bien m'écouter ?

Je vois ma sœur arrivée, je me dépêche de chercher mon badge pour ouvrir la porte.

Salima- Salam Aleykoum oukhty, smeh d'être rentrée que ce soir j'avais plus de batterie en plus

Moi- Mehlich c'est pas à moi que tu devrais t'excuser, Baba il va t'éclater si tu montes pas tout de suite donc dépêche !

Salima- Tu montes pas avec moi ? Traîne pas !

Moi- Si, j'arrive attends-moi. *à Karim* Smeh j'vais rentrer, si t'as toujours mon numéro et que t'as du temps appel.

Karim- D'accord, bonne nuit on reparlera plus tard ok ?

Je dis oui de la tête, et rentra chez moi. Bien évidemment Salima n'avait pas perdu une miette de notre discussion avec Karim. Elle me posa 1000 et une question sur lui. Baba ne lui a rien fait, elle s'est juste pris un bon coup de pression mais rien de plus. Pourquoi je ne lui demande pas avec qui elle était ? Parce qu'elle n'a pas de compte à me rendre à moi sa petite sœur, c'est la première fois que je la vois contente et la première fois que je la vois partir avec un homme. Je pense que s'est sérieux sinon elle ne m'en aurait jamais « parlé ».

Je suis partie me coucher, toujours aucun message de lui.. Demain s'est la reprise des cours. On verra bien s'il m'envoi un message cette nuit ou même demain.

-Lundi matin-

6h45 j'ouvre les yeux, guette mon telephone. Toujours rien. Je pars donc me doucher et me préparer (jogging noir, tunique en laine longue blanche, veste de sport à capuche noire). Tout le monde dors toute ma famille commence aux environs de 8h30 donc quand je pars de chez moi, eux se lèvent. J'appel Soumya savoir si elle est réveillée pour partir au bus et fait de même avec Loussia. J'enfile ma veste en cuir, mes converses blanches, met ma capuche et s'est partie pour une longue journée de cours. Arrivée à l'arrêt de bus je vois toutes les têtes fatiguées des gens du quartiers qui vont en cours, j'apperçois les filles ensuite qui s'était mises à l'écart. Je vais avec elles.

Moi- Salam Aleykoum les meufs comment ça va ?

Elles - wa'Aleykoum Salam, ça va et toi ?

Loussia- T'as des new's ? Alors il t'a appeler ?

Moi- Ca va hamdoulilah, non toujours pas et j'm'en fou ça va c'est pas en fonction de lui que je vais vivre !

Loussia- T'énerve pas aussi, pas dès le matin !

Trop susceptible cette meuf elle zehef !

Moi- Vas-y ta gueule wlh.

Soumya- Eh mais s'est pas lui qu'arrive là-bas en courant ? Tiep il va rater le bus

Le bus arrive on le voit taper un sprint, je retiens les portes il me dit merci avec un grand sourire essoufflé, je le regarde de travers sans lui répondre et pars m'assoir. Je reçois un message de Loussia : « t'aurais dût lui fermer les portes à la gl ». J'ai ri.. Je l'ai regardé, il me regardait au même moment j'ai fait ma peste et ai détourné le regard. Je ne sais pas où il va comme ça. Qu'il ne croit plus que je vais lui répondre s'il m'appel à partir de maintenant. Dire que j'ai attendu qu'il m'appel pendant 1 journée entière et encore ce matin.. Ok Layali t'oubli tout de suite ce mec. Il est charmant, mature, intelligent, il parle bien, mais t'emballe pas trop rappel toi qu'il était avec une fille hier soir au cinéma.. Ouais là j'me rends compte que j'ai été trop faible et que j'me suis attachée trop vite pour rien, en deux parole il a réussi à me mettre dans sa poche. Mais c'est quoi ça ? Plus jamais.

On arrive à l'arrêt de notre lycée, la foule descend, dont moi et les filles. Sur le chemin je regarde derriere moi et vois Karim marcher dans la même direction que la nôtre. Ne me dites pas qu'il est dans le lycée ? Putain ! Lorsqu'on arrive au lycée la sonnerie retentie, on monte tous en cours. J'ai maths, enfin plutôt cours de sieste mdr. Je m'installe à ma place et met ma tete dans les bras. Je m'endors aussitôt. Je sent que l'on me secout, s'est Soumya

Elle- Ça vient de sonner viens.

Elle prend mon sac et je la suit, je lui reprends mon sac en sortant de la classe et on se dirige vers la salle du cours suivant : Histoire-géo.

Je passe la journée, j'ai croiser Karim dans les couloirs ils traînais avec quelques mecs de mon quartiers qui sont dans sa classe apparement.

On sort du lycée 17h30, je reçois un message "KESKIA?" Numéro que j'avais pas dans mon répertoire. J'envois " C'est qui?", devinez? Ça répond "KARIM". Bon bah ça s'est fait. Je regarde autour de moi je le vois poser entrain de fumer devant le lycée avec les autres zoulous. Il regarde vers moi et regarde son téléphone. Je répond quoi moi maintenant ?!

-DISCUSSION PAR MESSAGE AVEC KARIM-

Moi- Salam Aleykoum, g rien. Pk ?.

Je le regarde. Il lit le message, me regarde et range son téléphone, du genre à pas répondre à mon message. Il est très fort. Ça m'a énerver comme jamais.

Moi- Venez les filles on va au bus

Elles- Vas y vite on va le rater

On arrive de justesse a l'arrêt du bus. On monte, arrivée au quartier on rentre vite chez nous avec tout les devoirs qu'on a faire on avait pas le temps de traîner. En rentrant Baba me fait la tête.

Moi- Qu'est-ce qu'il y a Baba ?!

Lui- l'école elle m'a appeler. Alors comme ça tu dors en cours?!

Ah ouais mon prof il a dut voir que je dormais mais de là à appeler mes parents s'est vraiment des batards

Lui- Alors répond!

Moi- Baba s'est lundi j'étais fatiguée s'est tout ça a pas duré longtemps en plus je crois. Je recommencerai plus !

Lui- Tu crois? Ahhhh pourquoi on m'a donner cette fille?! ( en arabe ) Si tu recommence tu va goûter à ma main et là tu va savoir !

Moi- oui pardon Baba!
*Je sent mon tel dans ma poche vibrer et qu'on m'appel* je vais faire mes devoirs

Je me dépêche d'aller dans ma chambre et regarde mon tel, s'est Karim mais j'ai rien a lui dire. Même si je mourrai d'envie qu'il m'appel après le coups qu'il m'a fait de l'ignorance je voulais plus entendre parler de lui. Je raccroche mais ça rappel.

L'habit ne fait pas le hlelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant