Chapitre XIV

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Point de vue de Louis

J'étais rentré du lycée. J'étais enfin seul. J'en ai marre, vraiment, je vais craquer. Je vais vraiment péter un câble. Ça fais trop longtemps. Je supporte plus sa bande, je le supporte plus. Personne n'est a la maison. Tant mieux. Je cours dans ma chambre et j'ouvre tout les placard. Je retourne mon lit, mon armoire, ma salle de bain. Aucune parti de ma chambre n'y échappe. Je cherche mes putains de bouteilles. Ma putain de lame. J'en ai besoin j vais exploser. Il Faut que je bois. Il faut que je fasse quelque chose. Je les aient. J'en ouvre une par une. Je prend une gorgé de chaque. Je suis parterre. Couché. Je pleure. J'en peux plus. C'est trop dur. Je m'étais promis de plus recommencer l'alcool, la mutilation. Mais la j'en peux plus. Vraiment. Faut que tout sorte et la c'est maintenant que tout doit sortir. Si tout ne sors pas maintenant. Je perdrais la tête. Je l'ai déjà perdu d'ailleurs. J'ai déjà ingurgité pas mal de gorgé, de différente sorte d'alcool. Je sais je dois pas. Mais bon. Mais ça fais tellement de bien. Pourquoi on sonne a la porte ? C'est qui le connard pour qui je dois me relever ? Pourquoi on viens me déranger ? Je laisse sonné. Tampis pour celui qui sonne. Je me lèverais pas. Je m'en fou. Que cette personne aille au diable. Ça insiste en plus. Putain. Si ça re sonne une seule fois. Je me lève et je refais le portrait de celui qui sonne. qui ça peut être. Je m'en fou. On me casse pas la tête quand je suis comme ça. Ça résonne. C'est bon c'est mort. Je pète un câble je me lève et je vais ouvrir. C'est peut être papa ou maman de retour c'est tout. Bon je me calme. J'ouvre la porte avec une telle fureur que la personne devant moi a un mouvement de recule. Je relève la tête et la mon visage se décompose. Qu'est ce que styles vient faire la bordel ? Il pouvait pas rester chez lui ce con. Et en plus il entre comme si c'était chez lui. non mais oh. Il s'est pris pour qui lui ? Il a cru que c'était mon pote. Je m'avance quasiment en courant sur lui est je pète cosiderablement un câble. Je lui gueule dessus toutes les absurdités que je connaisses. Puis il prend mes mains et me dis :
-T'arrête pd ! Pourquoi tu crois que je suis la ? Tu croyais en avoir assez au lycée ? T'inquiète pas maintenant je vais dire aux autres de se calmer je crois qu'à cause de toi mon meilleur pote devient pd. Ah ! Tu peux pas savoir comment ça me fais chier mais tu sais je me dis c'est pas de sa faute c'est la tienne. Je vais pas m'arrêter loin de la. Oh crois moi ! Je te laisserais plus jamais seul tu m'aura toujours sur ton dos et je te jure que tu va en baver.

- ESPÈCES DE CONNARD ! FILS DE CHIEN ! SALAUD ! ESPÈCE D'ENCULÉ ! C'EST TOI LE PAUVRE PD ! PAS MOI ! JE T'EMBRASSER PAS QIAND ON ÉTAIT PETIT. C'ÉTAIT TOI. C'EST TOUJOURS TOI. ESPÈCES DE CHIEN ! COMMENT TU PEUX TE REGARDER EN FACE ? TU VOIS PAS QUE TU ME TUE ? QUE TOUT LE MONDE AUTOUR DE TOI T'ÉVITE ? QUE T'ES UN SALE CONNARD DE FILS DE PUTE ?

Je me défoule sur lui. Et il riposte pas c'est mieux va quand je vois qu'il bouge pas je me relève et et je remarque qu'il étais parterre et moi à califourchon sur lui . Et j'ai pas vu venir Harry qui c'était relevé. Et il a commencé à me taper je me prenais des coups. Dans les côtes, le visage, les jambes, les bras et le ventre. Au bout d'un moment je peux plus bouger. Je suis paralysé. Et je ferme les yeux mais il continu toujours. Il s'arrête pas. Il voit pas qu'il me tue qu'il me détruit, et maintenant c'est plus que mentalement, il me détruit physiquement. Je suis même plus sur de pouvoir remarcher demain ou un autre jour. J'ai peur et sa se voit dans mes yeux mais comme ils sont fermés Harry ne voit donc pas que je souffre et que j'ai peur. Mais j'ai pas peur de mourir. Non. Ça j'y pense depuis que Harry est revenu. Mais j'ai peur de ce qui va se passer. Comment je vais faire si je survis. Et d'un coup tout les coups s'arrêtent et je peine à ouvrir les yeux. Je le regarde désespérément et je sens les larmes couler sur mes joues lorsque je vois qu'il ne ressent rien. Je vois rien. Ses yeux, il sont tellement vides. Ses si beau yeux. Je pleure mais je peux même pas mettre mes mains sur mes yeux où essuies mes larmes je suis totalement paralysé. Et Harry souris. Je crois qu'il est heureux de me voir comme ça. Je comprend pas pourquoi il me fait cela. Je ferme les yeux en murmurant :

Je te hais au plus au point même si je t'aime toujours d'un autre côté.
J'avais Récolté la toutes mes forces pour dire ça. Puis j'ai juste eu le temps entendre la voix de Harry.

-je vois très bien que je te tue. Mais je veux juste de détruire, tu déchiqueter le cœur. Pour que tu puisse vivre. Je t'aime toujours aussi. Mais c'est pas possible t'as pas tenu ta promesse.

Je le sens se pencher. Et me faire un bisous sur la joue et m'essuyer les larmes. Et je sens plus rien je suis dans le noir total j'ai beau appeler rien ne sors de ma bouche. Et c'est là que je prend compte que j'ai aimé Harry. Et que malgré tout ce qu'il m'a fait. Le pourquoi je reste en vie est que je crois que je l'aime toujours. Mais comme il l'a dit c'est plus possible. Et c'est de ma faute.

le petit détruit, le grand déstructeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant