Je cri aux grands baobabs

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Je cri aux grands baobabs,
je m'éloigne aux tireurs,
J'y transforme la guerre par la paix.
J'y transforme la confusion par l'amour,
J'ose parler pour mon raisonnement, je touche aux cœurs par ma vérité,
je gomme les crânes par ma sagesse.

Je lance mon cri,
Un cri qui vient d'une ville souffrance,  elle s'appelle les yeux rouges,
soumise aux pieds d'éléphants.
Ces éléphants qui nous ont écrabouillé,
car dans ce coin ils sont bidasses.
Elle vit dans les armes,
ceux qui nous ennuyent plaçant un peu en tragédie.
Et en une douleur profonde,
du jour par jour du premier jour à la fin de la semaine on ne vit que dans terreur,
dans la forte inquiétude sans sommeil.
Cette ville degérée   à cause de ces éléphants remués qui font voir L'Extravagant. 
Ce pays est devenu comme leur lieu de promenade,
Ils nous violent par leurs bouches de malheur.
Dégagez ce pays nous voulons la paix !

MA VOIX CHÉVROTEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant