Les papillons du quartier, qui ne veulent pas nous voir sourire,
ceux donc qui nous perturbent à travailler ;
ils jouent, ils rigolent,
volent et tournent autour
en nous embêtant.
On les voit comme des vagabonds,
ce qui nous vadrouille jour et nuit dans le quartier,
en se pensant vainqueurs.
Oh! Pauvres papillons détendez vous, le nom du feu ne changera jamais.
Nous les voyons
nous ventiler;
nous verouillerons vos portes et nous ponpérons xénons dans ce portail.
Vous pensez que notre quartier est une pouponnière ? Pensez-vous que nous pourrérons dans cette souffrance ? Quelle polka que vous faites, ou vous voulez pelluer ce quartier?
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MA VOIX CHÉVROTE
شِعرma poésie est mon mot sacré pour Lutter contre le mal gouvernance de mon pays, on les voit traîner, mais ne fout rien dans le pays. leur politique est devenue , une politique familiale, je suis vraiment navré pour les hommes sans honte. Je vois le...
