[ST] drôle de planète - part IV

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Chekov ouvre les yeux, il voit des branches avec par dessus des feuilles et autre ramassis de conneries de la nature

Il regarde autour de lui, une fine couverture faite avec des conneries de la nature cousues ensemble

Il a très mal au crâne, puis en tournant la tête il voit une ouverture vers l'extérieur d'où semble venir une douce chaleur et une lumière chaude malgré la basse température

Chekov s'enroule de la petite couverture 100% naturelle, nan car il a froid, mais aussi ça fait plusieurs années qu'il est pas venu en Russie pour y passer ses vacances

Chekov : docteur ??

Il voit McCoy aussi dans une couverture avec une genre de petite bouteille de whisky portatif autour d'un feu de camp

McCoy : Chekov ? Tu-tu vas bien ?

Chekov : j'ai un peu mal au crâne

Chekov s'installe près du docteur

McCoy : tiens prend ça *prend un truc dans sa poche* ça te fera du bien *le lui donne*

Chekov : de l'aspirine ? Vous avez ça ?

McCoy : je suis docteur, j'en ai toujours sur moi au cas ou

Chekov : et est ce qu'il y a de l'eau ?

McCoy : oui mais je sais pas si elle est potable

Chekov prend la gourde tout aussi improvisé que le camp que Bones lui donne

Chekov : bon on va vérifier si elle est bonne

Chekov prend l'aspirine puis bois de l'eau, avant de crisper son visage

McCoy : ça doit pas être très bon je suppose

Chekov aval le tout

Chekov : affreux, cette eau est imbuvable !

McCoy : ouais, et pourtant tu l'as bien bu

Bones prend une gorgé de son whisky

Chekov : ouais... dites je peux en avoir une gorgé ?

McCoy : ouais vas y tiens *lui tend la bouteille*

Chekov : *la prend* merci *bois une petite gorgé* hey c'est pas mal ! *lui redonne*

McCoy : merci

Chekov : don non seulement vous vous baladez constamment avec de l'aspirine mais aussi avec de l'alcool ?

McCoy : ouais....

Il y a un silence entre les deux

Chekov : au fait docteur.... qu'est ce qu'il s'est passé ?

McCoy : les aliens qui ont attaqué le camp, l'un d'entre eux est venu te voir. Je sais pas ce qu'il t'a fait mais tu hurlait vachement fort

Chekov : ah..

McCoy : crois moi, on t'entendait a sur des kilomètres a la rondes

Chekov regarde le sol

McCoy : personne ne voulait vivre ce qu'il te faisait vivre. Et même une fois que je l'ai fait fuir tu semblais... perdu, tu n'étais plus toi ou comme perdu dans une hallucination

Chekov : je vois...

Un silence encore plus gênant

Chekov : rassurez moi docteur je n'ai rien fait de grave ?

McCoy réfléchi un instant

McCoy : nan, rien. Du moins rien qui ne mérite d'être puni, tu n'étais pas toi

Histoire a la con (tout et n'importe quoi)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant