La braise.

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Son regard, si doux, contraste avec son buste finement dessiné et son corps dont la silhouette est si brutale.

Il y'a quelques temps j'aurais tout donné pour vivre cet instant alors qu'à présent, je ne vois que lui et je le dévore des yeux.
Nos regards sont plongés l'un dans l'autres et tant d'émotions me submergent : un flot bouillonnant vient dévaster mon bas-ventre. Je le désire et je ressens cela à travers tous mes membres.
Sa main se pose sur ma joue et, toujours avec cette sensualité surprenante qui lui est propre, il me saisit le cou.

Je veux lui appartenir, qu'il perde tout contrôle et fasse de moi sa chose.

Il ressert sa main et mon souffle s'en retrouve presque coupé.

Son nom... je veux qu'il m'entende le supplier par son nom.
« G-Gab... »

C'est alors qu'il me recouvre les lèvres, et me murmure ces quelques mots, qui à eux seuls, ont suffit à éveiller davantage mes passions :
« Laisse moi m'occuper de toi... »

Ses mains descendent lentement le long des courbes de mon dos, comme si le temps s'était soudainement saccadé. Je savoure chacune de ses caresses et je réplique avec des baisers aussi téméraires l'un que l'autre.

Une fessée retentie : les claquements ne cessent pas et je m'agrippe à son cou pour ne pas m'écrouler de plaisir. Mon bas-ventre est en extase.

Je veux qu'il me fasse l'Amour.

En dentelle noireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant