22. Vous, vous et moi🥀

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Les yeux fermés Elizabeth commençait lentement a les ouvrir pour parvenir à voir la lumière de l'aube reposer dans la pièce majestueuse dans laquelle elle avait passé la plus belle nuit étoilée de sa vie. Les cheveux lâchés et mal coiffé ils resplendissait de toutes leurs splendeurs.
Elle tournit son regard bleu sur l'homme encore endormi à ses côtés. Ses bras entourait sa taille et ses yeux clos venaient caché ses iris vertes qu'elle aimait tant admirer. Alors qu'elle le fixait dormir les souvenirs de la veille commençait à remonter dans son esprit; son pas qui la guidait vers le lit avant de n'encrer son regard vert dans le sien. Comment cette homme était parvenu à rendre un simple toucher aussi affolant et exitant. Ses mains puissantes frôlant sa peau d'une manière qui la rendait dingue, ses lèvres qui descendaient le long de son corps qui lui donnait des frissons.

Tout ses gestes et actes lui revenait un par un jusqu'à empourprer ses joues entièrement.

Oh my pensa-t-elle en elle-même alors que sa main se posait sur sa joue chauffée. Je suppose que je suis vraiment tombé dans la décadence de l'amour.

Vêtue que d'une simple chemise à Meliodas elle s'assit sur le bord du lit avant de ne se lever pour atteindre la fenêtre qui ornait le mur à côté de son lit. Elle trouvait ça une idée que seul lui pouvait avoir. Placer une fenêtre juste à côté d'un lit..., c'était dangereux, audacieux mais tellement lui.

—Queen Elizabeth... Entendait-elle une voix marmonner. Comment ne pas la reconnaître ? Même avec des craquements dans sa voix dû au matin elle ne pouvait que la reconnaître. Claire, tendre, grave, tout se dont elle savait rêverw tout sz dont elle arrivait à penser.

—Good morning, Meliodas! Fit elle en se retournant joyeusement vers lui. Les yeux clos, le sourire grand elle semblait tellement heureuse.

Alors que ses mains étaient enlacés derrière son dos Elizabeth venait s'approcher lentement de Meliodas; coucher dans le lit, sa tête reposante sur sa main il la regardait se rapprocher de lui avec cette coquine attitude.

Debout devant lui, sans un avertissement elle venait se pencher au dessus de lui pour celer leurs lèvres. Un simple baisée mais les émotions qu'elle sentaient n'était vrai chez aucun autre. C'était comme ci le monde autour d'elle et lui commençait a tourner, comme ci rien d'autre ne venait à exister. Il n'y avait comme que lui et elle dans le monde. Cette émotion, ses sensations dans son ventre, elle voulait les garder, elle ne voulait pas les abandonner. Elle ne savait pas, elle n'allait jamais avoir son audace de dire oui dans cette église, pourtant elle devait. Et ça elle le savait... Mais comment? Comment allait-elle pouvoir y arriver alors que celui qu'elle voulait c'était l'homme devant elle aux cheveux de blé, de soie et aux yeux d'un vert si clair, si pur...

—Je t'aime... Chuchotait elle quand elle rompus le baiser rapidement. Le laissant en vouloir plus, le laissant impuissant face à son désire de la garder près de lui.

Il était encore tellement tôt que le château semblait endormi. Pourtant il y avait déjà beaucoup de va et viens dans les couloirs. C'était peut-être ce va et vient qui allait être la cause de l'attrocité que ce roi et cette reine allaient leur infliger.

—See you later my love! Fit Elizabeth alors que sa main se posa sur la poignée de la porte de sortie de cette chambre et que l'autre lui jetait un baisée.

Il lâcha un sourire amusé. Je ne pouvais rêver mieux comme femme...

Toujours habillé de sa chemise ses pieds nus frappaient le sol de pierre silencieusement alors que son allure était sprintante. Personne ne pouvait savoir, personne ne pouvait la voir. Plus vite et encore toujours plus vite se cachant des serveurs et domestiques elle arrivait enfin face à la porte de sa chambre après une course palpitante. C'était dangereux, mais le danger, elle commençait doucement à l'aimer. Entrant rapidement dans sa chambre elle enleva le chandail de Meliodas et le cacha sous son lit avant de n'enfiler une robe de nuit. Des pas commençaient à se rapprocher de ses appartements. Son cœur accéléra, son souffle se coupa et sa main passa nerveusement dans sa chevelure argenté avant de ne retomber le long de son corps.

amour empoisonnéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant