23. Non🥀

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Elle ne voulait pas que ça tourne ainsi, elle ne s'était jamais imaginé qu'en partant du couvant et en venant ici, dans ce château que sa vie allait changer tellement. Que ses sentiments allaient être négligé tant.

Elle craignait ne pas être prête mors de son départ, mais c'est que maintenant qu'elle se réalisait à quel point elle ne l'était pas. La vie lui procurait des choses qu'elle n'orait jamais imaginé. Osé imaginer.

Coucher dans son bain elle laissait sa peau se fripper alors que la chaleur de la pièce commençait à oppreser l'air. C'était s'en doute mauvais de rester mais au point où elle était elle ne voyait pas l'intérêt de sortir de cette agréable eau chaude. Le bain était de bois, la salle de bain de dalles blanche, tout était beau, néanmoins elle ne voyait que gris et noir. Sans lui, comment allait-elle faire? Le savait-io déjà ? Et puis qu'allait faire le roi?

Ses pensées s'enchaînaient dans sa tête, elle ferma les yeux et expira. What am I going to do? Se demandait elle sérieusement.

Soudain, son souffle se coupa, sa bouche se fit couvrir par un mouchoir. L'odeur était parfumé. Ses poumons se vidait de leurs oxygène alors qu'elle sentait une main lui tenir la tête et une autre lui pousser le mouchoir sur la bouche et le nez. Tout devenait flou, sa tête se mis à tourner. Son regard tourna vers la gauche, là où la porte était ouverte.
Elle essayait de crier à l'aide, mais le bruit se fit comme absorber par le bout de tissu.

Son corps se débattait, encore, plus fort, plus et plus encore. Ses jambes battait l'eau avec fermeté. Ses mains essayaient, elles, de s'agripper à son assaillant. Sa tête bougeait de gauche à droite pour déstabiliser la personne se tenant derrière elle.

Sa vision se brouillait encore, le bain devenait double, puis flou, l'eau devenait rose, puis rouge.

Elle fermait les yeux alors que sa conscience le lui interdisait. Aucun poison sur elle, aucune arme pour se protéger. C'était le meilleur moment pour l'attaquer...

Zeldris n'allait pas mourir, et elle, elle allait payer à sa place. Du moins, c'est ce qui devait arriver.

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Gelda... Voilà le nom qui ornait ses pensées perverses mais en même temps charnelle. Son cœur commençait à battre de plus en plus fort à chaque pas. Devant cette porte, la poing formé pour qu'il puisse retomber sur ce bois, les yeux brillants il laissa son poings toquer à la porte de sa chambre.

Il attendit un instant pour qu'enfin son visage au traies fins et secrets se montrent à lui. Ses yeux ametisthes se plantaient dans les siens. Ils étaient différents, comme absent mais son sourire était là. Ses lèvres tendu dans se radieux sourire qu'il avait perçu dès le premier jour, dès que son pied s'était posé sur le sol Français.

—Gelda... Souffla-t-il en la regardant de haut en bas.

Ses joues devenerent Rougé.

—Entre, idiot. Elle le laissa entrer, il posa son épée contre le mur intérieur de sa chambre. Simple, modeste et bien plus petite que la sienne. Toute fois pour une raison qu'il ignorait il la préférait à la sienne. L'odeur qui y était sentait la fleur, la vanille et surtout, elle.

—Gelda... Fit Zeldris tout en se rapprochant d'elle, ses mains se mirent sur ses hanches et un souriee vain s'offrir à elle. Seule elle pouvait me voir fragile comme il était. Il n'y avait que elle qui pouvait.

—Zeldris... Sa main repoussa les siennes. Il ne compris pas, ses sourcils se fronçait et même si il ne le voulait pas il se dégagit.

—J'aimerais qu'on parle Zel, pas de notre relation, de nous, mais du futur. De comment tout va s'arranger, comment tout va se produire et comment les relations vont évoluer... Son regard sur le sol elle n'osait pas lui faire face trop gênée par son visage rouge.

amour empoisonnéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant