Mauvaises habitudes |bakugo x reader (trad)

Chapitre 8

J'ouvre la porte de la douche en frissonnant légèrement à l'air froid rencontrant ma peau nue. J'arrache précipitamment une serviette du crochet de la douche et l'enveloppe autour de ma forme. L'entraînement des héros était épuisant aujourd'hui et à la fin j'étais couverte de saleté et de sueur de la tête aux pieds. J'avais l'impression de renaître, je m'applique de la lotion sur mes bras et mes jambes fraîchement rasés.

C'est vendredi soir, ce qui signifie que j'ai la nuit de congé et de tous autres héros devoirs. Donc, Toshinori m'a invité à dîner juste tous les deux cette fois. Je prends quelques minutes pour terminer ma routine après la douche et je me change en une tenue décontractée. Il n'y a aucune raison de m'habiller classe puisque je n'y vais pas pour un truc important. J'utilise mon alter pour sécher mes cheveux debout sur le sol de la douche et penche la tête en arrière pour activer mon alter.

Toute l'eau tombe facilement de mes cheveux et je passe rapidement une brosse dans mes mèches maintenant sèches. (Life Hack 101). J'applique la touche finale à mon look avant d'entrer dans ma chambre. Je jete mes vêtements d'école sales et ma serviette dans le panier isolé pressé contre le mur et dans le coin en notant mentalement de faire ma lessive demain vu que le panier déborde. Je me dirige silencieusement vers la table de chevet en bois pour débrancher mon téléphone du chargeur et vérifier s'il y a de nouveaux messages de mon agence.

Aucun acolyte que j'ai nommé pour prendre le relais pour la nuit mais je remarque que Keigo m'a envoyé quelques mèmes d'oiseaux. Je lui envoie même l'emoji impassible bien que je ricane tranquillement aux blagues ringardes. C'est un idiot et j'aime ça. Toujours souriant je fourre mon téléphone dans la poche de mon jean déchiré en saisissant le sweat à capuche rouge sur mon lit et de le jeter.

J'éteins la lumière de ma chambre comme je marche en me dirigeant vers la porte d'entrée tout en saisissant mes clés en laissant descendre les marches en sautant quelques-unes au fur et à mesure et lorsque j'arrive en bas je salue un de mes voisins qui vient de rentrer du travail.

Les bruits de la ville, des klaxons, des voitures et le cliquetis de tant de gens qui rentrent chez eux remplissent mes oreilles en marchant dans la rue et je respire profondément.

Mon esprit se sent clair pour la première fois depuis un moment. Il est plus de 18 heures le soleil commence à descendre sous les gratte-ciel ne laissant dans son sillage qu'une brise chaude. Le temps du début de l'été est apaisant pendant que je me promene sur le trottoir très fréquenté.

Je vis dans la partie la plus agréable de Tokyo depuis je peux facilement me permettre d'être un pro-héros de premier plan qui me rapporte suffisamment pour vivre dans un manoir si je le voulais mais je suis plus minimaliste ne voulant pas trop possessions pour garder une trace de juste ce qui est nécessaire.

L'odeur de la nourriture grasse inonde mes sens lorsque je passe devant l'un de mes restaurants préférés. Un vieux diner avec un thème rétro qui vend les meilleurs burgers et milkshakes que j'ai déjà eu.

Je connais personnellement le propriétaire parmi les nombreux fois où je suis allée au restaurant et m'offre toujours une réduction sur ma nourriture.

Lorsque je regarde à travers la fenêtre teintée familière, la vue me sert de l'intérieur. La Bakusquad est à l'intérieur en train de bavarder et de rire sans se soucier du monde.

Comme je le pensais. Ils ont avancé sans problème. Sorti de nulle part Kirishima se tourne vers la fenêtre, on fait un contact visuel à travers la vitre. On se regarde tous les deux avec de grands yeux pendant un moment attirant l'attention des autres membres de la Bakusquad. Ils se ont également retourné vers le verre et me regarde dans un silence stupéfait.