chapitre 5•

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De là, j'entends quelqu'un crier mon nom. Je me retourne, Zakaria de même

Inconnu : Ness !

Zakaria se retourne en fronçant les sourcils et me dit d'un ton calme et froid : d'où tu le connais ce Fils de Pute.

Moi : Je te promet que je le connais pas

Zakaria : tu te fous de ma gueule ? Pourquoi il t'appelle par ton prénom alors ?

Moi : je sais pas...mais sur Allah je le connais pas.

Il a même pas pris le temps de me répondre il s'approche dangereusement de lui et l'attrape par son haut.

Zakaria : Samy sal Fils de Pute

Ok, info +1

Samy : lâches moi.

Zakaria : je répète ma question une dernière fois qu'est ce tu fous là ?

franchement moi ? je savais pas ou me mettre et askip ils se connaissent mais ça se voit qu'ils s'apprécient pas trop même pas du tout... 

Moi : Zakaria s'il te plait.

Et là Zaki attrape Samy et commence à l'enchaîner.

Quelques minutes après y'a 2 gars musclés grands en taille qui sortent de nul part, me font propulser, je tape mon corps et ma tête contre une voiture. Je commence à voir flou. 

Zakaria qui avais limite tuer Samy, se retourne et cours vers moi.

Les deux grands gars, me donnent des coups. Zakaria se met en face de moi, pour vous dire qu'il s'est mangé des gros coups, il se mettais sur moi. Mais ma tête me faisais tellement mal.

Et la d'un coup Trou rouge vert blanc (🇩🇿🇩🇿)
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j'me réveille dans une chambre très éclairée avec des maux de tête et de dos vraiment fort
j'avais bien compris que j'étais dans une chambre d'hôpital. J'appelle l'infirmière
quelques minutes après elle arrive, elle était agréable, grave souriante et on pouvait voir dans son badge qu'elle s'appelle Anais, elle avait une tête d'une petite harbiya.

J'avais trop mal à la tête, j'arrivais pas à parler.

Anais : bonjour Ness, est ce que tu m'entends.

J'avais encore la tête dans les vapes...

Anais : hmm docteur je vois qu'elle est encore entrain de se réveiller.

Docteur : très bien je vais devoir m'occuper d'un autre patient quand elle se réveille faites lui les questions tout ça si il se passe quelque chose d'anormal appelez moi je suis à la salle d'en face.

Anais : très bien monsieur.

Moi : ..mhh.

Anais : salut Ness...

Moi : aïe ma tête.

Je vois Anais noter dans un cahier de note.

un "je t'aime" coupé à l'ammoniaqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant