Chapitre 1 " Pourquoi je ressens cet douleur en moi ?"

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Le réveille matin sonne et j'ouvre délicatement les yeux, Le reflet du Soleil retentit dans ma chambre, mes poignets me font une douleur atroce... j'ai mal au veine..? Étrange c'est nouveau tout sa..

Je me lève de mon lit et je regarde Mes cuisses, Je passent délicatement mes doigts sur mes coupures en serrant les dents, Elle sont fraîche mais je me souviens jamais de Les avoirs fais...

Je regarde quelque temps les coupures et je me décide de m'habiller, Faudrai pas que mes parents ne voient ces coupures sa me donnerai des ennuies..

La voix de mon père retenti de l'étage Inférieur, il me crie de me dépêcher.
Ou j'allais rater le bus,  je préférerais déjà manquer le bus que de devoir me taper 6-7 heures assise sur une chaise, franchement, il aurait pu nous faire l'école à la maison c'est déjà mieux.

J'enfile un Chandail noir avec des motifs rouge et un jeans troué noir.
Je donne quelque coup de brosse dans mes cheveux et me met un peut de mascara pour cacher
Mes cernes.
Et me rendre au moins un minimum jolie.

Je soupire et je m'étire avant de me diriger vers la cuisine qui ce situais En bas des Escaliers,
En sortant de ma chambre je croise mon frère, Un homme assez grand et charismatique ,
Les cheveux aussi noir que du charbon et les yeux aussi vert qu'une perle.

—"Sa m'étonnent que madame sortent de sa demeure, peut être devrais-Je y aller plus fort?"

Je le regarde et je me souviens de quelque évènement, une sensation De douleur à mon entre-jambe, causer par son Penis qui m'avais déchirer le vagin.
La nuit d'avant, il est rentrer Saoul d'une soirée et ma endormi sous la drogue de viole puis c'est amuser a son envie.

—"C'est bon, j'ai compris tu y ai aller assez fort.."

Il me regarde perversement, Ce n'étais pas mon grand frère.. je refuse d'y croire, il avait toujours 
été quelqu'un de gentil et protecteur, il
M'avait toujours promis de me protéger, et maintenant il me fait du mal de la sorte..

Il repart mine de rien et il tape la discussion avec notre mère.
Je reste quelque temps figer avant de descendre les escaliers un bonne fois pour toute.
Ma mère me tend mon sac pour l'école.

—"Tiens, ton dîner est dedans."

Elle me donnait  jamais vraiment à manger, seulement, un p'tit jus pour compenser.

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