Stupre [ vkook]

Ｃｈａｐｉｔｒｅ :１

        ——————       ——————

Quel est le sens de la vie ? Que vaut la vie ? Pourquoi vit-on ? Quels défi nous réservent la vie ? La vie est- elle un songe ? Doit-on prendre la vie au sérieux ? La vie nous prennent t'elle pour cible à abattre quand elle en avait envie ?

Pouvons nous y répondre ?  Oui ? Non?

Moi j'y répondrai bientôt, car la vie a décidé de me prendre pour cible .

Voici les questions qui me hantait depuis maintenant quatre ans.

Quatre ans où le sens de la vie était mise en question par moi .
Ce qui ne me ressemblait pas . absolument pas . J'étais plus du genre a juste profiter de ma vie sans m'envahir autant de questions , sans doute sans aucune réponses concrètes .Bien que parfois je me posais quelques question existentielle mais pas plus que ça .

Quatre ans où je ne parler presque plus . Manger plus correctement. Me causant un corps fragile, assez amaigri et pâle , ce qui n'arrangeait pas vraiment l' allure de mon physique qui n'était déjà pas très agréable à voir a cause du nombre effroyable de bleus et cicatrices que possédait maintenant celui-ci depuis plusieurs jours maintenant.

Un nombre incalculable d'hématomes ornaient l'entièreté de mon petit corps ; sur mes côtes,descendant vers mon bas du dos creux , mes genoux, mes fine jambes,mes bras , et un énorme bleu c'était majestueusement formé sur mon ventre plat a cause de ma faible consommation ces temps ci . Et ma peau d'une blancheur pure, et laiteuse ne m'aidait pas vraiment à les camoufler et s'était bien le contraire , les rendant bien plus visible . Et pour couronner le tout quelque blessures non cicatrisé sur mon visage " d'ange"
comme il aimait si bien le dire .
Mes lèvres légèrement fendues , commençaient à retrouver leur allure originelle; fine mais légèrement pulpeuse laissant une nuance de rosé.

Ça ne l'es auraient pas plus ça .

La vie était cruel .

Ils me manquaient terriblement.

J'avais mal ,très mal , physiquement et beaucoup plus mentalement.
Je me demandais ce que j'avais bien pu faire pour mériter tout ce qui m'arrivait . Mais je ne me plaindrai pas , non , car je me disais qu'il y avait bien pire dans ce monde , des personnes qui souffraient bien plus que moi. Mais ça ne m'empêchais pas de verser les peu de larmes qu'il devait me rester maintenant.

Depuis quatre ans où je ne voyais et respirais que tristesse on pouvait aussi y rajouter du regret.

                           Oui.

Du regret de ne pas avoir assez profiter de ma vie d'avant , avant ces quatre ans . Du regret de pas les avoir assez dit à quel point je l'es aimé, à quel point il comptait pour moi.

Je n'arrivais pas encore a m'y faire  .
Et je n'y arriverais jamais .

Mon petit cœur était mal , très mal . Maintenant habitué à cette douleur inexplicable, qui m'empêchait de respirer correctement serrant ma cage thoracique si fortement enlevant tout l'aire qui pouvait s'y loger .