{terminé} Une Creepypasta portée disparue

préparation des pièges

Cassis pov

Après avoir receuilli les informations concernant la Creepypasta, je sors mon bloc-note que j'ai rangé dans ma poche et j'inscris rapidement ce qu'elle m'a put donné comme information qui m'aidera lors de la préparation de mon piège, au lieu de rentrer à la base des Creepyhunter pour faire le point à mon chef des informations que j'ai récolté, je vais jusqu'à un magasin situé à environ dix minutes d'ici puis j'achète du chocolat, j'en prend un de chaque marque en espérant que je vais tomber sur la bonne marque car sinon je paierai beaucoup d'argent pour rien et mon Boss risquerait de littéralement me tuer, je prends le tout à bras nu puis je vais payer à une caisse automatique, je paye et récupère mon argent que je range dans ma poche de jean arrière avant de récupérer le tout et de quitter le magasin, un grand sourire se dresse sur mon visage en imaginant la tête de mon Boss, je retourne jusqu'à la foret et les dispose dans un coin assez visible en les mettant sous forme de tas aléatoire, je me cache ensuite derrière quelque arbre non loin de là puis je l'attend patiemment.

J'attend pendant environ une demi-heure jusqu'à entendre un bruit, je regarde et aperçoit la Creepypasta que je cherche.

Cassis: yes !

Je le chuchote très discrètement de sorte à ce qu'elle ne puisse pas m'entendre puis je la regarde s'approcher en trainant ses sabres au sol, elle voit les chocolats et ses yeux se transforme, elle en bave même, me faisant gagner en confiance d'avantage.

Marie: ugh chocolat

Elle utilise un de ses sabres et en traine quelque un jusqu'à elle puis elle les prend en les déballant avant d'en manger avec gourmandise, pendant ce temps là je sors discrètement de ma cachette et me glisse derrière elle en faisant de mon mieux pour ne pas qu'elle m'entende, une fois que je suis assez proche je me jette sur elle et elle commence à se débattre en essayant de me retirer d'elle.

Marie: LACHE MOI !!! 

Je ne dis rien et ne met pas longtemps avant de la plaquer au sol et de surement lui feller une côte, un cri de douleur quitte sa bouche avant qu'elle ne saisit son arme et d'un coup sec essayer de me trancher la tête mais je parviens à esquiver au dernier moment.

Marie: grrr je vais tellement te tuer !

Cassis: on verra qui tuera la première !

Marie: t'as pas pensé à ça !

Elle siffle en mettant son index et majeur dans sa bouche, je lève un sourcil avant de me faire attaquer par derrière par des serres ainsi que par croassements et des hululements, je mets mes mains sur ma tête en les secouant pour retirer le volatile de moi, en regardant la Creepypasta je vois son hiboux aller sur son épaule mais dos à moi avant qu'il ne tourne ta tête en me regardant avec son air enervé, je grogne un peu.

Cassis: ah tu veux la jouer comme ça hein ?

Marie: abandonne, nous sommes deux contre toi, tu n'as aucune chance de survivre même si je pense que tu m'as cassé une côte sale garce de mes deux

Cassis: c'est vrai, mais ne t'inquiète pas, je ne suis pas une Creepyhunter pour rien

Marie: hm ?

Je siffle et un collègue à moi se jette sur elle en lui plaquant la tête au sol, tandis qu'un autre sort de sa cachette.

Cassis: surveille le périmètre, il ne faut pas qu'elle donne l'alerte

Il acquiesce et surveille le périmètre, pendant ce temps là je regarde Marie et son hiboux qui essaye de la libérer, je l'attrape avec les mains.

Cassis: toi, tu restes ici

Hiboux: HOOOOOOOU ! HOOOOOOOU !

Je mets une main sur son bec pour l'empêcher de gueuler à nouveau, je me retourne face à mon collègue et lui dit d'endormir la Creepypasta avec mon produit dans ma poche et mon coton, il prend rapidement le tout tout en la chevauchant avant de l'endormir par force car elle se débat beaucoup et n'arrête pas de bouger la tête.

Axel: c'est bon elle est endormi

Cassis: parfait, merci Axel de l'avoir endormie et merci Francis d'avoir vérifié le périmètre

Francis: pas de soucis Cassis~ Allez rentrons avant qu'on se fasse repérer

Axel la met sur son épaule et moi je tiens son hiboux, je mène la marche en rentrant à la base en m'assurant que personne ne nous voit ou nous suive.