『𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟗』

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⚠️Une scène sexuelle s'apprête à commencer ! Si vous ne souhaitez pas lire, je vous conseille de swiper jusqu'au prochain laps de temps !⚠️

Les yeux sombre de la blonde ne fixaient qu'une seule et unique chose à cet instant-là : les prunelles azurées du lycéen. Accompagnée d'un grand sourire plaqué sur ces lèvres, cette dernière ne tarda pas à embrasser le ténébreux. Tel un félin attrapant sa proie, ses mains glissèrent jusqu'au cuisse de la blonde pour la porter jusqu'au canapé non loin d'eux. Aomine ressemblait à présent à un animal affamée. Cette fille lui procurait un bien fou. Il ne l'avouera jamais, mais elle et seulement elle arrive à le rendre aussi bien. C'est sûrement pour cette raison qu'il était autant addict a cette relation.

Ce dernier était difficile à cerner, les baisers qu'il lui faisait délicatement au creux du cou prouvait qu'il la désirait. Cependant, dans la vie de tous les jours il était totalement impassible face à ces sentiments.

Sorti de sa rêverie, cette dernière passa ses mains dans les cheveux à présent ébouriffé de son amant. Il usait de ses doigts pour éveiller tous ces sens : passant par sa poitrine, son cou, le creux de ses reines et à présent son entre jambe.Emma était plongée dans un rêve éveillé, ses yeux fixait un point qui semblait lointain. Allongée sur ce canapé qu'elle connaissait à présent que trop bien, elle sursauta légèrement, surprise de sentir la cuisse de Aomine contre son entre jambe.

- Daiki... susurra-t-elle en prenant le visage du ténébreux.

Cette dernière glissa une de ses mains libres pour la presse contre le tissu du pantalon de Aomine qui la regarde faire de ses yeux bleuâtres. Les mots que prononçaient ce dernier avait pour effet de faire comprendre à Emma qu'elle était sienne. Puis il posait sauvagement ses lèvres contre les siennes, pour enfin glisser ses mains en dessous de l'uniforme de lycéenne de la blonde.

- Retourne toi.

C'était un ordre. Un ordre qu'elle exécuta sans broncher, les joues légèrement empourprées.

- Maintenant, descends ta jupe.

- Tu ne peux pas le faire-

- Fait ce que j'te dis Emma.

Grognant pour faire comprendre son mécontentement, elle enleva sa jupe. Il avait à présent tout le loisir de la regarder. S'approchant d'elle jusqu'à arriver prêt de son oreille, le lycéen lui susurra d'une voix rauque :

- Tu me remerciera plus tard.

Elle sentait cette odeur qu'elle aimait tant. Du citron mélangé à ce parfum de lessive. Ce dernier se pinça les lèvres en regardant les courbures de cette dernière face à lui. Dégrafant petit à petit sa chemise d'écolier, Aomine faisait se tordre de plaisir la blonde qui n'avait qu'une envie : Qu'il s'empare d'elle. Lorsque le tissu noir de son boxer est apparu enfin, un large sourire s'afficha sur les lèvres de Emma. Il glissait jusqu'à elle, embrassant sa joue, sa poitrine, son épaule, son dos, tout ce qu'il pouvait. C'était au tour de sa main experte de descente jusqu'au tissu rougeâtre de Emma. Ses doigts titillaient son clitoris. L'excitation la fit rire de plaisir. Son souffle s'accentuait ainsi que celui qui l'accompagnait. Les mouvements circulaires qu'il faisait la rendre folle. Lorsqu'elle le faisait ce n'était pas la même sensation. C'est surement car elle était folle de lui. L'amour rendait ce moment plus doux, plus précieux. Les gémissements qu'elle pouvait faire comprendre à Daiki qu'elle appréciait ce qu'il était en train de faire. Qaunt à lui, son membre était à présent apparent. De sa main libre, ce dernier s'amusait à jouer avec son membre.

- Daiki c'est bon...tu peux y aller là.

Mais aujourd'hui c'est lui qui dirigeait la partie. Il n'avait pas décidé qu'il était allé assez loin dans sa partie de plaisir. Malgré ce qu'on pourrait croire, Daiki n'était pas le genre d'homme à ce préoccupé que de son propre plaisir. L'entendre gémir son prénom lors de leur ébat lui apporterait tout autant de satisfaction. Il voulait la voir jouir contre lui, alors qu'il n'était pas encore revenu en elle. Plus d'une fois ce dernier c'était arrêté pour apprécier la frustration de la lycéenne, mais cette fois-ci il n'en avait pas l'intention.

Aomine | Entre nos corpsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant