l'incendie

19 2 2
                                    

J'habite à Paris dans un immense manoir. je n'ai qu'une seule amie Marie, qui malheureusement à du partir pour ses études ou autre elle n'a pas voulu m'en dire plus. Mais ce que je peux vous dire c'est qu'elle n'était pas rassurer d'aller chez moi d'après elle mon manoir était hanté. Oui oui vous avez bien entendu hanté. Haha je n'avais jamais rien entendu d'aussi absurde.

Mon père est un scientifique, un très grand scientifique même. Je me suis toujours demander sur quoi il travaillait,
D'après lui ça n'était "que de broutilles" Ou parfois il me disais "top secret" Avec son sourire en coin et son fameux clin d'oeil. Mon père est la seule famille qu'il me reste, ma mère est morte alors que je n'avais à peine 7 ans.

Elle était belle et intelligente, c'était la femme la plus courageuse et la plus importante à mes yeux. Elle l'a été courageuse lorsqu'elle a eu son cancer. Elle s'est débattue sans cesse jusqu'à son dernier souffle. J'ai encore un très bon souvenir d'elle malgré le fait qu'elle a passer quasiment 3 ans dans son lit d'hôpital. Elle voulait que je voyage elle me disais souvent :

"Mon ange où que je sois quoi que je fasse je veux que tu me promette une chose. Voyage le plus possible rend moi heureuse. Et tombe amoureuse comme moi et ton père l'avons été et n'oublie pas que je t'aime. "
Lors de sa mort ces mots résonnaient en boucle dans la tête.

Mais bon passons je n'aime pas beaucoup parler de sa mort.

Je rentrais de mon voyage avec mon père.
Il était parti pour son travail en Angleterre et j'avais insisté pour l'accompagner et comme d'habitude il a cédé. Dans la famille c'est toujours moi qui ai le dernier mot.
Nous étions entrain de débarrasser la voiture :

- Papa je monte à l'étage j'ai des tonnes de mélodies dans la tête je veux les écrire dans mon carnet.

- Ella s'il te plaît soit raisonnable un peu et aide moi à vider les affaires.

- Bien.

- Poses tes valises devant la porte et ensuite tu feras ce dont tu à envie. Mais pas de bruit je n'ai pas fini de travailler.

Je finissais de débarrasser la voiture quand je vis un papillons mais pas n'importe lequel ses ailes étaient d'un rouge vif.
Je sais que mon père est passionné pas les papillons donc j'ai couru pour l'attraper. J'ai ensuite appelé mon père qui a accouru:
- c'est un spécimen rare je n'en avait jamais vu avant je reviens je vais chercher mon matériel. Dit il déjà réparti.

Les minutes passait et mon père ne revenais pas mais j'étais tellement obnubilé par cet insecte que je n'avais même pas remarqué l'horrible odeur qui se dégageait de ma demeure.

Je leva la tête et me mis à courir vers la porte mais celle-ci était en feu je criait le nom de mon père des milliers de fois sans réponse alors je couru chercher de l'aide.
Une fois le feu éteint,
une personne s'approcha de moi et dit d'une voix calme:
" - Mes sincères condoléances... "
À ces mots mes jambes s'engourdirent et je m'écroulai sur le sol en pleure.

Une fois calmée je fis un tour dans les cendres pour voir s'il ne restait pas un objet ou quelque chose qui n'avait pas été consumé par les flammes mais rien.

Je m'asseyais sur le bord du puis dans le jardin quand je vis une boîte.
Celle ci étais en parfait état.
Elle était recouverte de soie rouge,
Je l'ouvris et vis une note qui me disais qu'en cas d'urgence ultime je devais me rendre chez mon oncle en Transylvanie
Avec une adresse noté au dos.

Je n'avais aucune autre solution...
Je pris je premier train et partie pour la Transylvanie.

𝙏𝙝𝙚 𝙋𝙧𝙤𝙥𝙝𝙚𝙘𝙮Où les histoires vivent. Découvrez maintenant