Chapitre 1 : Fascination

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Depuis ce lundi matin où je l'ai aperçue, quitte à arriver en retard, je passais devant sa salle toujours dans l'espoir de le croisé dans ses beaux vêtements, lui et son regard de marbre. De façon honnête je pense que c'est de son regard dont je suis fascinée ...Chaque fois que je le voyais au bout du couloir, mon pout s'accélérait, ma respiration tremblait et mes jambes peinaient à tenir mon corps. Quand nos regards se croisaient, je sentais mes joues brulés .Je profitais de ces moment pour scruter ses habits du jour, son parfum, sa position (toujours droite comme un pique ce qui lui donnait de l'assurance) Et aussitôt après avoir tous avoir regarder et tous enregistrer dans ma tête pour occuper mon esprit lors des cours, il disparaissait de ma vue, me rappelant que je suis élève et lui professeur. C'est en cours de maths qui je me rendis compte que je n'avais pas vu de bague a son doigt, peut être aurais-je mes chances !!! Non attend, à quoi je pense ??? C'est un prof et je suis qu'une simple élève qu'il croise de temps à autre dans le couloir de sa salle ...J'aurais beau rêver jamais il n'y aura quoi que ce soit entre nous. Ma pauvre fille redescend sur terre, la raison t'appelle !! Mais malgré ce que disait la petite voix dans mon esprit, tous les matins, tous les intercours, je passais devant sa salle .Quelque fois il n'était pas la car il n'avait pas cours mais la plupart du temps je réussissais à le croiser ne serait-ce que le temps de quelque seconde qui me remplissais d'enthousiasme pour le reste de la journée .Cette routine qui était apparu dans ma vie n'a pas échapper aux yeux aiguiser de mes deux amis. Apres leur silence de deux semaines ou ils avaient remarqué mon habitude, Theo brisa le silence en me demandant pourquoi j'étais si obstinée à passer devant les salles de sciences .Comment leur expliquer ? Comment leur dire que leur amie était obstinée par un professeur de deux fois son âge ? J'ai évitée la question en disant que souhaitait simplement marcher un peu plus .Tu parles !! Je me suis moi-même pas cru et je me suis pas ratée, ils n'en n'ont pas cru une miette ! J'ai été forcée de leur raconter la vrai raison de mes détours quotidien ...Apres dix minutes de « Mais t'es folle ?! » « Attend un prof ? Il a deux voire trois fois ton âge, a quoi tu penses sérieux ? » « Tu déconnes j'espère », ils avaient enfin fini de me faire une morale que je m'étais déjà faite une bonne centaine de fois. Je crois que je les ai jamais autant vu s'inquiéter pour ma santé mental .Ce qui me blessa légèrement d'ailleurs .C'est sur le chemin de français (sans détour, malheureusement )que j'ai compris que j'avais bien fait de ne pas parler de 'toute' la vérité .J'avais compris que j'avais déjà frôler la catastrophe en leur parlant de M.Giraud, ils n'avaient pas besoins de connaitre le fond de ma pensée avec mes idées .... Loin de l'innocence que je montrais tous les jours. Cette fois si (et depuis longtemps ) mon esprit n'était pas habiter par M.Giraud mais bien par la tristesse et la déception de la rection de mes deux amis .J'aurais pu prendre leurs paroles au pieds de la lettres mais pour ma santé et ma protection , j'ai pris leur paroles a la rigolades en leurs disant que ce n'était qu'un délire sans but qui prendrait vite fin .Contre toute attente ce tissu de mensonge est bien mieux passer que le premier et les a convaincu qu'il ne fallait pas s'inquiéter .Une seule chose était vrai dans ce que j'avais dit 'il ne fallait pas s'inquiéter pour moi car j'étais consciente de mes pensées , de mes actes et de mes envies :Ces envies interdites et pourtant si irrésistibles ...Durant le cours de français j'écoutais qu'un mot sur deux , j'étais trop pressée de sortir de cet enfer et de nourrir mon estomac qui criait famine depuis trente bonne minutes . Enfin j'entendis cet affreuse sonnerie retentir .En cinq secondes chrono j'étais dehors, le pas presser, les yeux occuper à choisir une bonne musque pour me motiver à presser le pas. J'étais tellement concentrée que je n'ai pas fait attention sur qui je fonçais tête baissée ...Evidemment il a fallu que ce soit 'lui' .Apres avoir réalisé que je venais de percutée quelque chose que je n'aurais pas dû percuter, je décidai enfin de lever les yeux pour croiser les siens. En un instant je devenus rouge tomate et je commençais à parler de façon incompréhensible. Il m'arrêta brusquement pour me dire :

Le rêve interditOù les histoires vivent. Découvrez maintenant