Addicted to your love ~Dylmas~ {Terminé}

~Chapitre V~ Retour

PDV de Dylan :

La soirée d'hier a été mouvementer, enfin surtout dans ma tête parce que pour Thomas er Kaya ça a été un régale, tant mieux pour eux, pendant qu'ils dansaient j'ai réfléchit a plusieurs choses, au problème de Thomas, a mes problèmes et au faites que je veuille arrêter le tournage, je ne peu plu vivre avec cette peur de risquer ma carrière a causes des disputent, il suffis que sur un mal entendus je me dispute avec quelqu'un du tournage pour qu'il ou elle fassent comme l'autre acteur avant et tante de détruire se que j'ai construis. Je ne peux pas continuer a vivre dans la peur, je dois arrêter de jouer dans ce film.

Je pose deux pieds a terre et vais prendre une douche, laissant couler l'eau chaude sur ma peau j'entends quelqu'un toquer a ma porte, je me munis d'une simple serviette autour du bassin et vais ouvrir, mais quand je vois qui se tiens devant moi mon sang se glace, lui, c'est lui, celui qui a tenter de détruire ma vie, il se tien là, habiller d'un pantalon noir et d'un pull gris, avec ses éternel cheveux blond, et ses beau yeux bleu claire un sourire sournois accrocher a ses lèvres légèrement roser et bien dessiner, il fallait se l'avouez, il étais pas mal, pensais-je maladroitement.

- Comment se retrouve ? Dit-il amuser de la situation

- Jace, comment ? Qu'est ce que tu fais là !? Dis-je en m'énervant

- Calme toi mon pote, je suis juste venu voir un ancienne ami, non ? Dit-il d'un tons ironique

- AMI ? AMI ! Criais-je, Tu a essayer de détruire ma carrière parce que tu ne m'appréciais pas !

- Justement, j'ai essayer, mais je n'y suis pas arriver, donc sans rancunes ?

- Bien tenter, mais ton jeux d'acteur ne marche pas avec moi Jace ! Alors dégage de là ! Je ne veux plu jamais te voir ! M'exclamais-je en pointant du doigt la porte de sorti

- Comme tu veux mon pote, dit-il l'air innocent, mais je reviendrais finir mon travail, je le fini toujours, sache le O'brien, murmure t'il a lui même

Une fois Jace sortis je m'assois sur mon lit, prend mon visage entre mes mains et verse quelque larmes, sous le cou de la colère et en ne contrôlant plu rien je me lève et renverse a l'aide d'un coup de main se qu'il se trouvais sur une petite étagère, la colère, la frustration et la tristesse prennent l'entier ter de mon corps, ses sentiments là ne devrait pas exister ! Les larmes coulent a flots sur mes joux, Jace, la personne qui m'a fais vivre un enfer durant une durée qui m'échappe est venu dans ma chambre ! La colère est un sentiments qui une fois encré en moi ne pars plu, et c'est se qu'il se passe je me mets a renverser tous se qu'il se trouve sous ma main, et c'est au tour de la tristesse et là aussi je ne contrôle rien, pleurant a chaude larmes assis par terre adosser au mur je pense, penser m'aide, mais je n'y arrive pas, je n'arrive même pas a être pensif ce que d'habitude je fais sans m'en rendre compte, c'est se qui m'effraie, mon passé est en train d'affecter mon présent et une fois le présent affecter il est difficile de garder un futur intacte, je n'y arrive plu, la frustration d'être incapable de gérer cette situation prends une grande place dans mon esprit, les larmes ne s'arrête plu, elle ne s'arrêterons plu, je n'est personne, je suis seul dans cette galère et je ne sais pas comment m'en tirer, si je n'arrive plu a gérer mes émotions, la suite s'annonce compliquer, j'ai peur, peur que se qu'il c'est passer recommence, il suffis que je me dispute avec quelqu'un du tournage pour que tout parte au drame et cette fois si personne ne pourra m'aider, il n'y a plu qu'une solution, je dois quitter le tournage.

C'est toujours les larmes dévalant mes joux que j'entends que quelqu'un toque a la porte, je me lève coléreux et ouvre la porte dans un fraqua intense, ne prenant même pas la peine d'effacer les larmes a mes yeux et sur mes joux.

- Dégager ! criais-je désespérer

- Dylan ? Pourquoi tu pleurs ? Ne voyant pas la personne en face de moi a causes des larmes me brouillant la vue je ne répondis rien jusqu'à se que j'entende la voix, ça voix

J'efface alors les larmes a mes yeux pour voir son visage.

- Tommy, dis-je en murmurant

Il ne parle pas mais me regarde de haut en bas, je l'interroge du regard mais comprends vite, je suis encore vêtu d'une simple serviette blanche autour de la taille sur laquelle il y a le logo de l'hôtel.

- Euhm, ouais, entre je reviens, dis-je en reniflant et en fermant la porte me dirigeant vers ma valise puis dans la salle de bain

Je me change avec un pantalon noir et un pull beige, je retourne dans la chambre où est Thomas, assis sur le coins du lit.

- Tommy, je, je voulais pas te parler comme ça tu sais....dis-je en m'asseyant a coter de lui

- J'imagine, Dylan qu'est se qu'il se passe ? Demande t'il inquiet

- Je.

Il pose sa main sur la mienne entre lassant nos doigts ensemble, mon coeur se mis alors a battre plu vite que jamais, une sensation de chaleur m'envahie tandis qu'un maigre sourire viens se dessiner sur mon visage.

- Quelqu'un est venu me voir, et c'est une personne que je n'avais pas envie de voir

- Qu'elle personne Dylan ?

- Jace Herondel, dis-je une larme dévalant ma joux

Je sens le blond se tendre face a ce nom.

- C'est qui pour toi ? Demande t'il

- Un connard

Je l'entends pouffer une faction de seconde.

- Pourquoi donc ?

- Il, il a faillit réduire ma carrière d'acteur a néan, je marque une pose, sur un tournage nous ne nous somme pas entendu, puis il a commencer a dire qu'il me détestais et qu'il m'anéantirais, il a presque réussis, mais Tyler Posey et venue m'aider, il m'a sauver, je ne serais pas a ce tournage sans lui je lui dois beaucoup

- Je suis désolé Dylan

- Tu n'y est pour rien, mais dis moi, pourquoi tu est venu ?

- Euhm, parce que, je, j'ai entendu des bruits de fraqua ici, et comment dire, je m'inquiétais pour toi donc je suis venu voir, dit-il doucement

- Tu t'inquiétais ? C'est gentil....dis-je en rougissant

Il sourit faiblement et plante ses iris dans les miens, je ne peu plu les quitter, ses yeux son si beau, tout chez lui est beau, ses traits de visage, son caractère, sa façon de parler et de pensé, tout me plaît chez lui, non stop ! me dis-je. Arrête Dylan, ce n'est qu'un ami et je ne le connais pas tant que ça, il juste, lui, c'est tout.