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mais des fois tu devrais lâcher prise

t'autoriser à pleurer dans mes bras c'était bien,
mais tu dois aller plus loin

crier au vide et à l'oubli,
hurler à tes ennuis,
laisser les larmes couler
sans chercher à les cacher

tu es là, devant moi
tu dors debout pour rattraper la nuitée,
que tu n'as pas passé
trop occupé à réfléchir
à ce que t'aurai pu faire pour que ça aille

ne transparaît que tes yeux,
et ton regard me fait mal.
il transmet ta douleur et on a mal à deux.

- larme à deuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant