2- la Passion

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En chemin nous parlions de ce qu'on allait laisser et de ce qu'on allait découvrir. Je lui disait que j'étais triste de quitter notre petite ville mais que c'était moi qui voulait à tout pris rentrer dans cette école de danse pour y accomplir ma passion et découvrir ce qui ce passait en moi quand je dansais.

Lorsque nous arrivions carton et meubles étaient déjà déchargés et envahissaient presque tout le salon.
Je regardai ce qu'il y avait et montai dans ma chambre, tout les cartons sur lesquels était marqué mon nom. Je déballai en premier ma chaîne Hi-Fi et mis ma bonne vieille musique dont je ne me lasse pas et qui en plus me transporte dans un autre monde. A vrai dire quasiment toutes les musiques m'envoyaient dans cette autre monde.

Après avoir défait le plus gros des cartons, je demandai à aller prendre l'air et visiter un peu le quartier. Mon père me laissa y aller a condition d'avoir mon téléphone sur moi et de répondre s'il m'appelait et de rentrer avant dix-sept heures. Je commença donc ma promenade tout en écoutant ma musique qui rythmait mes pas.
Cette envie de découvrir était plus forte que moi, je franchissais la limite autorisé et commença à m'éloigner. Peu à peu sans m'en rendre compte, j'arrivais presque au centre de la ville. Je m'en rendis compte seulement une fois que quelqu'un me rentra dedans.

- Oups, excusez moi.
- Pas grave mais vous auriez pu faire attention !
- Oui je ne regardais pas ou j'aillait je rangeais mes partitions.
- Ah oui très bonne excuse dit tout de suite que tu ne regardais pas ou t'allait, ce sera plus simple.
- Non mais comme si j'avais une tête à mentir.
- Tu n'a peut-être pas une tête à mentir, mais tu n'en a pas une non plus à être musicien.
- Et toi, tu aurais pu faire attention ou t'allait !

La il n'avait pas tort, mais j'étais tellement absorber par ma musique que je ne l'avais pas vu arriver.

- Bah si monsieur étais entrain de ranger ses partitions, alors moi j'écoutais ma musique.
- Mais oui bien sur.
- Tu ne me crois pas. Tient écoute, elle est encore en marche.

Il pris les écouteurs septique, puis me dit:
- Là, il y est censé y avoir de ma musique ?
- Bah oui il y en a, c'est même Adèle, Somone like you en ce moment.
- Tu entend quelque chose toi ?
- Oui c'est qui n'ettend rien.

C'est plutôt lui qui n'entend rien! Et merde ma music a dû se couper quand je lui ai passé l'écouteur.
Il me rendit les écouteurs puis s'en alla.

" dring dring "
- Allô papa ?!
Quoi il est déjà dix-sept heure trente ?!
Oui j'arrive bientot.
Je me dépêche c'est promis.

Je me hâta donc de rentrer et arriva à la maison fatiguée de ma course.

Je me fis remontet les bretelles. Je n'était pas du tout a l'heure il était déjà plus de dix-huit heures.

Danse pour luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant